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La violence coloniale française et ses multiples Facettes (suite)
Publié dans Réflexion le 03 - 01 - 2012

Des souffrances endurées par les peuples sur lesquels Paris a établi l'autorité coloniale, et par la violence qui était présente, tout d'abord, dans la conquête du territoire et les promoteurs coloniaux exultaient, avec la prise d'Alger, inaugurant l'expansionnisme en 1830, croyant y demeurer éternellement.
La décolonisation la plus dramatique et douloureuse, a eu lieu en Algérie
Le nombre de morts dans la guerre d'Algérie a été énorme, et de nombreux Journaux français ont ciblé l'Armée de Libération Nationale (ALN) l'accusant de tous les maux inimaginables avec des articles sur le bombardement de cibles non militaires tels que le café Milk Bar dans la «bataille d'Alger» en 1957, oubliant de ce point de vue de préciser les massacres, les assassinats, les exécutions, les tortures et autres exactions commises contre les algériens désarmés dans les villes, et dans 8000 villages sans oublier les dechrates de l'Algérie profonde. La littérature sur la guerre est volumineuse, et les questions de torture, extralégales exécutions et mutilations avec beaucoup de meurtres au hasard et actes de vengeance à l'exemple de l'exécution de vingt musulmans par des pieds-noirs après l'épisode rue d'Isly sont nombreux, mais occultés par la presse de l'hexagone, alors que l'Armée et l'OAS avaient assassiné des partisans de l'indépendance algérienne et appliqué la politique de la terre brûlée en Algérie, et avec la montée en puissance de cette organisation criminelle, jamais la France n'aurait cru être confronté à une lutte armée sur son territoire, car avant même le début de la lutte de libération, pour se rappeler du 14 Juillet 1953, ou une manifestation des Algériens avait eu lieu à Paris à la demande la libération le combat avait commencé entre Algériens et français en métropole, qui débouchera plus tard sur les massacres du 17 Octobre 1961.
La nature variée de la violence en Algérie est à souligner
La répression et la mort, ont été couvertes et niées par les autorités Françaises, et aura choqué le monde et de nombreux anti-guerre et qui malgré l'opposition croissante à la guerre des intellectuels en France, les exactions et les crimes continueront et certains pieds-noirs jusqu'à présent ne sont pas réconciliés avec la perte de l'Algérie française, ce qui a fait que les défenseurs inconditionnels du colonialisme avaient tourné leur colère contre l'Etat français, y compris contre de Gaulle, car le derniers mois de la guerre et la poursuite des crimes après le cessez-le-feu négocié à Evian accorde, par l'OAS qui avait entrepris une campagne de violence dans la Métropole est un fait de la haine accumulée et vivace dans le milieu des nostalgiques même de nos jours. La violence, était une réalité qui aura infecté la métropole. À la fin des guerres d'Indochine et d'Algérie, il y aura d'autres épisodes de violence dans la décolonisation de Madagascar et de l'Afrique noire, ou des centaines de milliers de peuples colonisés étaient morts et subis la violence qui n'en finit pas de continuer d'affecter la France jusqu'à aujourd'hui Les opérations " pour le maintien de l'ordre "de 1954-1962 n'en n'était pas une mais une « guerre menée contre des populations civiles ni plus ni moins, et la question de la torture française est restée un grand tabou, au moins jusqu'à ce qu'elle soit devenue un sujet brûlant dans la vie publique après le procès de Maurice Papon en 1998, suivis par les révélations de Louisette Ingilhariz, une militante du FLN qui avait subit les pires sévices et tortures entre les mains des Français, et de plusieurs généraux, y compris Aussarresses et Jacques Massu qui a également répondu à des admissions au sujet de leur participation à la torture et aux exécutions Massu a exprimé ses regrets trop tard , mais Aussaresses justifiait les actions comme nécessaire dans de telles circonstances selon ce criminel. Seuls les travaux historiques, et l'ouverture des archives aux historiens pourront éclairer le français sur l'ampleur vaste et systématique de la torture pratiquée par l'armée et la police durant cette période et la manière dont l'administration et la magistrature française avaient couvert ces actions..


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