J'ai l'honneur, Monsieur le président, de vous soulever mon problème qui dure depuis 1998, date de mon engagement dans la garde communale. Monsieur le président, j'ai été privé de mes droits les plus essentiels, en premier lieu, la prime de risque et l'indemnisation des heures supplémentaires et du travail de nuit. Le logement est l'autre préoccupation dont j'ai souffert énormément. En tant que gardes communaux nous n'avons aucune facilitation pour obtenir un logement social. Convaincu de votre impartialité, Monsieur le président j'espère que mon problème trouvera une solution au niveau de vos services. Veuillez agréer Monsieur le président l'expression de mon profond respect. Un garde communal à Mostaganem