Mohamed Bédjaoui, ancien ministre des affaires étrangères, dont le nom est copieusement étalé ces derniers jours dans la presse, en raison de sa relation de parenté avec son neveu Farid Bedjaoui, principal intermédiaire dans la passation des contrats entre Sonatrach et la société italienne Saipem, vit visiblement très mal cette mauvaise publicité qui lui est faite, lui, l'ancien juge à la cour international de la Haye .Dans une longue lettre publiée hier en exclusivité par le journal Liberté, l'ancien ministre des affaires étrangères se demande « au nom de quelle raison faudra t-il faire de la parenté un fait générateur de délit ? Il commence sa lettre en évoquant l'ouverture de l'enquête judiciaire à Milan. « Une enquête judiciaire en cours à Milan, pour des faits de corruption qui seraient imputés à la société pétrolière ENI qui vient de connaitre son prolongement à Alger