A Bechar, les voitures de tout genre vieillissent rapidement par la poussière dans les rues, par les dos d'ânes qui ne répondent pas aux normes de la chaussée. Chaque habitant dans les quartiers construit un monticule devant sa porte. Celui qui est dépourvu de toutes les qualités de civisme et de culture urbaine trouve le moyen de critiquer tout le monde. Des nids de poules remarquables et même des petits fossés dans tout le réseau routier à l'intérieur de la ville. Où est la police urbaine ? Les casseurs de véhicules sont très nombreux. Pourquoi ? Aucune étude n'a été envisagée pour les constructions des avaloirs de la part des entrepreneurs disqualifiés qui ne savent que ramasser de l'argent (la fameuse Ch'kara dont tout le monde en parle) pour un travail bâclé. Les services concernés pour le contrôle et le suivi des avaloirs n'ont pas ménagé d'effort pour la garantie et la sécurité de la chaussée, pour une circulation avec moins de risques accidentels sur les bouches de ces avaloirs. Pour construire un réseau d'AEP, de gaz, d'assainissement, d'électricité et d'autres caniveaux, on doit tout détruire pour construire, une destruction d'un endroit qui était meilleur avant dans tous les quartiers, les habitants se posent des questions inversés sur cette phénoménologie qui doit être éradiquée du mental des entrepreneurs et se mettre à bien travailler. Si un touriste veut circuler en voiture il vaut mieux choisir le dromadaire pour ne pas avoir de malaise intestinal. Pensez-y à la modernisation de la ville avec toutes ses diversités urbaines pour un développement durable.