Selon des rapports dévoilés par le journal américain « World Tribune », le Maroc envisage d'acheter un groupe de drones de fabrication israélienne de la France. Le même journal a ajouté que les forces aériennes royales marocaines ont signé un contrat pour l'achat de trois drones israéliens, au moins. La même source a confirmé que ce drone est connu sous le nom de « Harfang », une version française du drone israélien Herron, d'une altitude moyenne et d'une endurance à long terme Cette action marocaine, est venue après que les autorités algériennes ont conclu une transaction importante pour l'acquisition de 30 avions de reconnaissance sans pilote de la troisième génération de la Russie. Il apparait que ce contrat est à visée très dangereuse sur la sécurité nationale de l'Algérie, selon des rapports médiatiques, qui ont précisé que le but recherché par ce contrat avec une société de fabrication d'avions israélienne est d'espionner l'Algérie. C'est l'hypothèse qui concorde avec les particularités de ces drones notamment vis-à-vis de leur altitude moyenne. Selon les mêmes rapports, ce contrat n'est pas le seul, mais a été précédé par de nombreux contrats d'achats d'armes de l'occupant israélien, qui est devenu l'un des principaux fournisseurs du Royaume de plusieurs types d'armements. De même que les observateurs des affaires maghrébines, estiment que le rejet inébranlable par le Makhzen de laisser passer une loi criminalisant la normalisation avec l'entité sioniste est principalement attribuable à la stratégie poursuivie par les autorités marocaines à faire des affaires, en particulier dans l'achat d'armes, qui est considéré comme l'une des priorités les plus importantes par le Maroc, à laquelle il dépense des sommes considérables, ce qui indique clairement que les grands progrès réalisés dans les équipements par l'Armée Nationale Populaire lui sont devenus un cauchemar inquiétant, le poussant à faire de grands efforts pour réaliser un genre d'équilibre. Le plus impressionnant, dans cette affaire, c'est qu'elle coïncide avec la réunion du comité de Jérusalem, présidé par le Roi marocain personnellement après une impasse qui a duré des années, ce qui remet en question la faisabilité de maintenir le Roi Mohamed VI à la présidence d'un comité de défense de la première Qibla et le troisième Lieu Saint face à la politique sans précédent de judaïsation. La présence arabo-musulmane et chrétienne est menacée, du moment où le Roi passe des contrats en milliards de dollars qui profiteront à l'armée d'occupation pour financer son agression contre le peuple palestinien et des autres peuples arabes. La menace qui pèse sur nous se trouve dans l'utilisation de ce type d'avions israéliens pour capter des informations qui ne peuvent pas être la seule propriété de l'armée et les renseignements marocains, mais il est très possible qu'elles soient également à la portée du Mossad qui l'utilisera pour nuire à la sécurité nationale. Le Maroc dispose de nombreux liens solides en matière de coopération avec Israël pour nuire aux intérêts suprêmes de l'Algérie à travers l'espionnage, tel que révélé par Amos Yadlin, ancien chef de la division des services de renseignements israéliens, qui a confirmé qu'un accord a été obtenu auparavant entre le Maroc et Israël pour espionner l'Algérie.