A vrai dire, le syndrome des enquêtes générées par les lettres anonymes a pris le dessus sur le développement économique et a étouffé la notion de citoyenneté et l'on ignore où va l'APC d'Ain El Hadid qui vit quotidiennement sous le joug des enquêtes. L'échange d'accusations fait rage plus particulièrement après la parution d'un article en exclusivité dans ‘'Réflexion'' portant sur la fuite de documents officiels. Dans ce sens et en fin de semaine, 3 élus dont un d'obédience M.P.A et 2 du parti de Louisa Hanoune ont été entendus sur P.V par les élément de la brigade de gendarmerie d'Ain-Kermès et cela suite à une lettre anonyme que même le chef de brigade de la gendarmerie nationale n'a pas été épargné, celui d'Ain El-Hadid , faudrait-il le rappeler. En guise de riposte, les 3 élus ont déposé une plainte contre le P/APC , l'actuel S.G de la commune ainsi que contre un élu qu'ils accusent ouvertement d'être derrière la fuite de documents officiels , a-t-on appris de source généralement bien informée, qui ajoute que ces 3 élus seraient en possession d'une délibération falsifiée et que le chef de daïra a été informé. Le P/APC à son tour, conçoit les comportements des élus comme un prolongement du complot mené par les proches de ces élus qui ont été derrière la suspension de son frère, un ex-P/APC qui est actuellement en fuite, faisant l'objet d'un mandat d'arrêt suite à un jugement de 3 années de prison ferme. A l'unisson, certains observateurs avancent que l'APC d'Ain-El-Hadid est sur une poudrière plus particulièrement après la menace du wali à l'adresse du P/APC lors d'une visite, et en termes clairs, le wali dira : « je vais te montrer le rire ! Et chose promise, le wali a rejeté la liste des 40 logements, laquelle fait le va et vient entre la wilaya et la daïra et qui a suscité plusieurs contestations en bottant que cette liste ne sera pas affichée puis qu'elle se compose de 22 logements sociaux, 13 logements RHP (habitat précaire), et 5 logements destinés aux victimes !