Le citoyen Algérien Larbi Bouzaher, este en justice, à la cours internationale de Haye, les services français du contre espionnage pour atteinte à son intégrité physique (sévices et tortures). Les faits remontent au printemps de 1987, quant Larbi Bouzaher, en quittant un bar parisien, il été intercepté par les éléments du contre espionnage français, avec un excès de zèle et abus d'autorité ils lui ont camouflé la tête et conduit à leur locaux, pour subir ensuite un interrogatoire très musclée. Durant toute une nuit les yeux face à un projecteur très puissant, pour qu'il reconnaisse qu'il était un espion Iranien. Ce n'est qu'à l'aube que les barbouzes ont reconnu leur erreur sur la personne enlevé, ils lui ont remis un verre d'eau drogué qui lui fait perdra connaissance, avant qu'il soit jeté en pleine rue. Cet interrogatoire selon la victime a été renforcé par une personne qui parlait couramment la langue arabe avec un accent tunisien, probablement un agent du Mossad sioniste. Quelques jours après, le mois de juin, il a été interpellé une seconde fois pour être amené aux locaux de Saint Michel, où il fut une seconde fois questionné sur l'origine de son argent et aussi sur son registre de commerce. Il sera victime d'une fracture du bras, et une plaie profonde provoquée par un coup de crosse d'un pistolet automatique. Armé d'un bon dossier comprenant des certificats médicaux et radiographie attestant les blessures et sévices, il a déposé une plainte auprès de la cours internationale de la Haye, avec son espoir qu'il sera assisté par les instances de défense des droits de l'homme. Les services français (DGSE et DST) possèdent un palmarès noir Sali du sang des Algériens. Et sont connus par leur hostilité envers la communauté Algérienne, depuis le siècle dernier, et travaillent en étroite collaboration avec l'antenne du Mossad sioniste à Paris.