Notre dernier mot, que nous adressons à l'association des malfaiteurs du cinéma Egyptien, qui regroupe une catégorie de comédiens et comédiennes, qui se mettent à chaque fois à genou, en rabaissant leurs pantalons devant la progéniture de leur Raïs, pestant l'odeur du sionisme. Mahmoud Yacine, un athée, Hocine Fahmi descendant d'une famille proche du palais royal du temps du Roi Farouk, une famille qui a usurpé les terres des pauvres malheureux égyptiens en les traitants d'esclaves, ces comédiens à la traîne voulant venir à la rescousse de la dictature. Après la révolution des officiers libres en 1953, le régime révolutionnaire avait nationalisé tous les biens mal acquis de cette famille, Hocine Fahmi était un contre révolutionnaire, contre le régime de Jamal Abdennasser. Dans une information que nous possédons du Chef des services de renseignement Fethi Dib de l'époque de Abdennasser, Hocine Fahmi avait eu une affaire d'intelligence avec l'ennemi Sioniste (Mossad) Il a réussi à échapper du filet des S.R. que grâce à la mort du Sadate, et sa présence loin de l'Egypte. Revenu libre en Egypte avec la bénédiction de Moubarak. Quant à Mahmoud Yacine, c'es celui qui « Yakoul El Ghelle Oua Ysseb El Mella ». Oran et durant toute sa présence dans une suite à l'hôtel Le Sheraton, ne s'est pas arrêté de gober Whisky et Champagne, payé par le grand budget à coup de milliards, alloué à notre ex confère H.H.C. pour l'organisation de cette mascarade annuelle à Oran. Mahmoud Yacine, qui a trompé tout le monde musulman en incarnant le rôle du Djihadiste musulman Djamal Eddine El Afghani, n'est en réalité qu'un athée, et lèche bottes de ces maîtres du sérail, connu par ces féminité, d'ailleurs ils sont nombreux ces comédiens Egyptiens que nous pouvons très difficilement les différencier des femmes. Ils se cachaient aujourd'hui derrière la progéniture du Raïs pour traiter les Algériens –Assiad'houm- de terroristes et Barbares. Nous avons beaucoup à dire, et dire que la vérité sur cette catégorie de clowns du pouvoir comme Ahmed Badir que nous avons rencontré à Khartoum, attablé dans le salon de l'hôtel en compagnie de deux journalistes Algériens et un confrère Soudanais Saïd Ahmed, et que certains supporteurs Algériens venus le saluer, ce Ahmed Badir de retour au Caire, nous a surpris avec son faux témoignage, Il a eu le culot de déclarer que des supporteurs Algériens lui montaient dessus. Notre couverture des événements est entre de bonnes mains, que ces comédiens du Palais disent ce qu'ils veulent dirent, nous détenons des preuves irréfutables du film des événements Rien ne s'est passé comme tel , à l'exception des cris de joie de fête et bien sûr de mise au point envers les supporters Egyptiens qui se sont bagarrés entre eux à la sortie du stade. D'ailleurs certains ‘'Baltagia'' Cairotes avaient utilisé les couleurs et le drapeau Algériens pour agresser leurs compatriotes et les délester de leurs biens. .C'est cela la vraie Baltaga, ya Zaher, ya Adip, ya Ghendour, ya Äla'a ya oueld Soltane. On n'a même dénombré une dizaine de nos compatriotes agressés. Certains comédiens jouent l'intelligence, certains sont intelligents : Guinness lo'est. Il y a une prière juive qui remercie Dieu d'avoir trouvé tant de manières différentes, de nous faire à son image. En regardant la version finale, d'une traite, il y a quelques temps de cela, je me suis dit que le Simley de Guinness était un pèlerin triste cherchant à s'identifier à son créateur à travers ces ressemblances imparfaites. Et il y a assez du clown en lui pour reconnaître la comédie de sa quête. Je rappelle à ces clowns, Egyptiens, que nous du Maghreb Arabe., Journalistes, intellectuels, Politiciens Nationalistes, Etudiants, Travailleurs, Chômeurs, Hommes et Femmes. Nous appelons au retrait de notre participation dans la ligue Arabe, convoitée uniquement par des Egyptiens, 99% du personnel du siège de la ligue Arabe est composé d'Egyptiens, Du gardien jusqu'à Mr Amr Moussa le salaire de chacun se comptait mensuellement par millier de dollars, dont l'Algérie participait financièrement alors qu'aucun travailleur Algérien n'y figurait.