Après que les dés se sont arrêtés pour signifier une victoire glorieuse de l'équipe nationale algérienne sur son homologue égyptienne, sur terrain neutre, lui offrant une qualification historique et irrévocable au mondial 2010.L'Algérie a doublement piégé l'Egypte, et sur le gazon naturel et en politique, en poussant la partie égyptienne à l'erreur, après avoir laissé son camp vide…! Par « ses sorties hors du terrain » (qui parle trop se tromper), On assiste, non pas à une revanche sportive qui serait tout de même logique, mais à des représailles intellectuelles à l'égyptienne, où les acteurs du « feuilleton » ne sont autres que des officiels « Pharaonés », déséquilibrés par une intelligence algérienne de qualité et à tous les niveaux (sportif ; politique ; presse et médias).Si non, comment expliquez-vous qu'une actrice égyptienne célèbre sur la scène internationale « brille », en un laps de temps éphémère, par un langage des rues indigne d'une culture qui se dit « hautaine », en annonçant publiquement, je cite : « On doit tous prier pour que l'Algérie sortira humiliée et prématurément de la CAN et de la coupe du monde 2010. Le peuple égyptien doit fêter toute défaite de l'équipe algérienne »… Où était cachée toute cette haine ? Pourquoi n'a-t-elle pas fait surface lors du dernier festival culturel africain tenu à Alger ? Pourquoi toute cette hypocrisie masquée par la fraternité ? Pourquoi cette figure égyptienne n'a pas usé de son cadre artistique pour appeler à la sagesse, dans des circonstances où la rue est à l'écoute ?A présent, il faut situer les responsabilités de ce grave dérapage à cause d'une balle au pied ! Jusqu'à maintenant, les autorités algériennes se sont caractérisées par la garde et la retenue en optant pour le silence qui est d'or, devant toutes ces accusations déplacées. Alors que toutes les chaines satellitaires égyptiennes nationales et privées, se sont versées dans la dérive depuis un mois, et ont poussé à bout leur acharnement ces dernières quarante-huit heures.Aller jusqu'à diffuser des troupes scandant des couteaux et prétendre qu'il s'agit d'algériens. Cela relève de l'absurdité et l'irresponsabilité. Et ajouter que la destruction des biens égyptiens en Algérie est commandité par l‘état pour ouvrir les portes aux Qataris…Fort heureusement que les autorités soudanaise étaient d'un haut niveau de neutralité, et ont vite « déshabillé » cette tentative de nuisance, en prouvant que ces images n'ont pas été prises au Soudan, vu que ces « troupes » ne portent même pas les couleurs nationales algériennes ! Aussi, le jour du match le ciel était d'un bleu sans nuages. Devant cette mascarade médiatique et escalade verbale, chacun doit assumer ses actes et ses responsabilités devant l'histoire, qui ne se base que sur les faits réels. Si vraiment il n'y a pas eu de morts (Dieu merci) lors du match du dix-huit novembre, les responsables de la presse ayant publié l'information doivent-être sanctionnés pour avoir omis à l'éthique et à la déontologie professionnelle. Pour leur part, les médias égyptiens doivent payer lourd pour avoir orchestré des scénarios dans le seul but de semer volontairement la haine entre peuples et responsables des deux pays. La partie égyptienne est arrivée, par ces gestes, à l'irréversible en demandant officiellement le retrait de leurs représentations nord-africaine (sportives, culturelles, ..).Similairement, l'association des acteurs et « intellectuels » égyptiens a exigé l'exclusion de l'Algérie de toute manifestation culturelle. Tout le monde souhaite que les relations Algéro-Egyptiennes redeviennent encore plus fortes qu'à ce qu'elles étaient, mais à l'avenir il ne faut jamais pousser à l‘irréversible. Leçon à retenir : Si Antar-Yahia a marqué un joli but sur le tapis vert avec le pied droit, le Président Abd-EL-Aziz Bouteflika a inscrit un second but historique sur le tapis politique avec la tête ! Ps/ les dessous de ce complot organisé : Le Président égyptien Hosni-Moubarek, voulait profiter de la victoire de l'Egypte sur l'Algérie pour : Primo : Que cette joie absorbe la colère de la rue égyptienne induite par les maux sociaux.Secundo : Faire passer le projet de son fils, pour préparer le futur « Héritier » !