La politique d'attrait aux investisseurs étrangers, qui jusqu'à ce jour n'attire que des fonds d'investissements de certains pays du golfe; des fonds spéculatifs dans la forme avec des projets de dupes dans le fond, aux intentions douteuses. Le cas du pavillon national La CNAN n'est qu'un exemple à méditer, donc la politique prôner jusqu'ici pour attirer les investisseurs étrangers à échoué, et les raisons de cet échec sont connues. Partout ailleurs dans le monde ; investisseurs et industriels cherchent avant tout une réglementation flexible ; et dans le contexte économique actuel; qui est difficile partout ailleurs beaucoup de pays procèdent déjà à l'allégement des procédures, pour encourager l'accès des investisseurs , des allégements qui touche surtout la fiscalité et toutes les dispositions qui facilitent l'implantation, la production ,et l'exportation aux investisseurs potentiels bien évidemment porteurs de projets et créateurs d'emploi et de richesse. Notre pays jusqu'ici n'a pas attiré autant d'investisseurs que le Maroc voisin; qui est pourtant dépourvu d'atouts que nous avons amplement comme la compétence et les matières premières nécessaires aux industries comme l'énergie par exemple, la recette de nos voisins marocains est simple qui est en fait une réglementation flexible et des garanties d'appui dans toutes les démarches allant de la production jusqu'à l'exportation. Le Gouvernement actuel doit impérativement appréhender avec rigueur et pragmatisme les défis imposés par la chute des cours du baril du pétrole ,qui sont toujours en baisse et tous les indices ;endogène et exogène; prédissent cette tendance pour le long terme ,ce qui induit des déficits budgétaires très significatifs à long terme ;qui sera très contraignante au maintien même d'une stabilité sociale très fragile avec une marge de manœuvre rétrécit que seul une stratégie fiable et audacieuse peut prémunir le pays d'asphyxie financière et le recours à l'endettement avec toutes les conséquences qu'on sait déjà. Pour être plus clair et malheureusement, les dirigeants seraient en manque de visibilité en ce qui concerne l'état actuel de notre économie , des projets industriel et agricole qui tardent à se réaliser ou qu'ils ne se réalisent jamais , faute d'une réglementation attrayante pour encourager les porteurs de projets qui veulent s'implanter à long terme dans notre pays .D'ailleurs on a qu'à constater le résultat des différentes dispositions précédente et actuelle ,très contraignante ,qui décourage toute tentative d'investissement et d'implantation des productions et services hors hydrocarbure ;hormis bien sûr des créneaux à forte valeur ajoutée et à certains profits comme celui du secteur bancaire et la production pharmaceutique qui génère des profits colossaux . Constamment les exécutifs en place procèdent à des réglementations qui aillent à l'encontre de la logique économique et de ses fondamentaux ,mais surtout peu sensé et dénué de toute stratégie claire pour encourager l'implantation à long terme d'une respectable assise industrielle qui absorbera une demande intérieure en constante augmentation et prétendre à l'exportation d'une façon du moins significative. Des indices peu reluisants pour des lendemains de disette , financière bien sûr ,tous les avis d'experts s'accordent pour dire haut et fort que le temps des bricolages est révolu ,et que les stratégies économiques hasardeuses n'engendrent que complexité de l'état lamentable de nos capacités à s'affranchir de la manne des hydrocarbures ;des réformes structurelles s'impose pour faire face à une baisse drastique des recettes des hydrocarbures.