L'Algérie recèle de potentialités très importantes en hydrocarbures et c'est notre tâche de les mettre à jour en intensifiant l'exploration. L'Algérie recèle de potentialités très importantes en hydrocarbures et c'est notre tâche de les mettre à jour en intensifiant l'exploration. La stratégie nationale en matière de recherche et d'exploitation des hydrocarbures est basée sur la maximisation de l'exploration et du pompage de nouveaux gisements de pétrole, notamment, pour espérer accroître les rentrées en devises.En effet, c'est ce qu'a affirmé, hier, le ministre de l'Energie et des mines, Youcef Yousfi, qui a déclaré que « L'Algérie va intensifier l'effort d'exploration pour accroître ses réserves d'hydrocarbures, assurer des revenus suffisants pour le développement et garantir la sécurité énergétique du pays à très long terme ». Selon l'APS, le ministre a également accordé une grande importance aux énergies renouvelables (solaire, photovoltaïque et éolienne) en déclarant, notamment que « la mission permanente de notre secteur est de garantir la sécurité énergétique du pays à très long terme et assurer des revenus suffisants pour son développement ». « Notre démarche s'inscrit donc dans cette double exigence", a-t-il dit ajoutant que « un certain nombre d'actions seront prises pour améliorer la sécurité énergétique de l'Algérie, avec l'intégration des énergies renouvelables dans cette stratégie », à savoir « intensifier l'effort d'exploration pour accroître nos réserves d'hydrocarbures, introduire et développer les énergies renouvelables, la disponibilité à long terme des hydrocarbures et la nécessité de diversifier nos sources de production d'électricité ». Dans cet entretien accordé à l'agence, Yousfi a réaffirmé que « le renchérissement du prix du pétrole et les obligations de préservation de l'environnement participent également, selon le ministre, de cette stratégie de développement et de diversification des sources d'énergie ». «Les mesures qui seront prises pour intensifier l'effort d'exploration s'articulent autour du renforcement des moyens humains et matériels de Sonatrach, l'augmentation des capacités nationales en matière de services pétroliers et parapétroliers, ainsi qu'un partenariat basé sur une vision à long terme en multipliant les appels d'offres, tout en étant attentifs à l'évolution des conditions à réunir et en mesure d'attirer les investisseurs potentiels » a ajouté le ministre. Par ailleurs, Yousfi a souligné que « l'Algérie recèle de potentialités très importantes en hydrocarbures et c'est notre tâche de les mettre à jour » poursuivant que dans le domaine minier, il s'agit également "d'exploiter et valoriser les potentiels miniers en intensifiant l'exploration ». Rappelons que depuis 2005 et 2008, les exportations respectives des gazoducs Pedro Duran Farrell (GME, vers l'Espagne) et Enrico Mattei (Transmed, vers l'Italie) sont en mesure d'acheminer vers l'Europe des volumes significatifs de gaz algérien additionnels. Yousfi a expliqué que concernant la réévaluation des projets pétrochimiques pour renforcer une industrie en aval, « l'orientation du Chef de l'Etat s'inscrit dans le double souci de s'assurer que chaque projet non seulement permet de récupérer le maximum possible de la valeur de nos matières premières ». Tandis que « les filières de valorisation choisies permettent de développer en aval un véritable tissu industriel permettant de diminuer, voire supprimer les importations actuelles de produits finis ». A cet effet, il a indiqué que « nous continuerons à faire appel à des partenaires étrangers dans le respect de nos intérêts » précisant que « la fabrication d'une large gamme de produits par nos investisseurs nationaux, aussi bien publics et privés, est à encourager ». Pas de remise en cause de la politique d'investissement Le ministre de l'Energie et des Mines a affirmé hier que « le pays refuse de remettre en cause la politique d'investissements à long terme adoptée par Sonatrach, en dépit de la morosité actuelle des marchés gaziers et pétroliers ». « Les investissements réalisés par Sonatrach pour le renforcement de ses capacités de production et d'exportation de gaz naturel, s'inscrivent dans une vision à long terme et ne dépendent pas de conjonctures ou de circonstances particulières et ponctuelles » a-t-il déclaré. Précisant que « la rentabilité de ses projets ne peut-être évaluée que sur une période de 20 à 30 ans ». Il dira également que « la production de GNL issu des trains de liquéfaction en construction n'interviendra que dans un horizon de deux à trois ans » en montrant un certain optimisme, il explique que « nous sommes optimistes quant au timing de nos projets car la croissance de la demande devrait bientôt être au rendez-vous avec le redémarrage de l'économie des principaux pays consommateurs ». Autrement dit, Yousfi estime que « Sonatrach explore actuellement les débouchés potentiels les plus valorisants. Le groupe pétrolier national compte prospecter tous les marchés qui offrent une valorisation intéressante, y compris le marché asiatique ». Par ailleurs, il ajoute que « l'état actuel du marché gazier en Europe, avec une offre abondante de la Russie et l'arrivée d'autres fournisseurs sur ce marché très porteur et où la demande est constante, n'est pas de nature à mettre en danger les exportations de gaz algérien ». Au sujet des capacités d'exportation, il notera que « plusieurs projets ont été réalisés ou sont en cours de réalisation pour renforcer les capacités d'exportation de gaz naturel vers l'Europe ». La stratégie nationale en matière de recherche et d'exploitation des hydrocarbures est basée sur la maximisation de l'exploration et du pompage de nouveaux gisements de pétrole, notamment, pour espérer accroître les rentrées en devises.En effet, c'est ce qu'a affirmé, hier, le ministre de l'Energie et des mines, Youcef Yousfi, qui a déclaré que « L'Algérie va intensifier l'effort d'exploration pour accroître ses réserves d'hydrocarbures, assurer des revenus suffisants pour le développement et garantir la sécurité énergétique du pays à très long terme ». Selon l'APS, le ministre a également accordé une grande importance aux énergies renouvelables (solaire, photovoltaïque et éolienne) en déclarant, notamment que « la mission permanente de notre secteur est de garantir la sécurité énergétique du pays à très long terme et assurer des revenus suffisants pour son développement ». « Notre démarche s'inscrit donc dans cette double exigence", a-t-il dit ajoutant que « un certain nombre d'actions seront prises pour améliorer la sécurité énergétique de l'Algérie, avec l'intégration des énergies renouvelables dans cette stratégie », à savoir « intensifier l'effort d'exploration pour accroître nos réserves d'hydrocarbures, introduire et développer les énergies renouvelables, la disponibilité à long terme des hydrocarbures et la nécessité de diversifier nos sources de production d'électricité ». Dans cet entretien accordé à l'agence, Yousfi a réaffirmé que « le renchérissement du prix du pétrole et les obligations de préservation de l'environnement participent également, selon le ministre, de cette stratégie de développement et de diversification des sources d'énergie ». «Les mesures qui seront prises pour intensifier l'effort d'exploration s'articulent autour du renforcement des moyens humains et matériels de Sonatrach, l'augmentation des capacités nationales en matière de services pétroliers et parapétroliers, ainsi qu'un partenariat basé sur une vision à long terme en multipliant les appels d'offres, tout en étant attentifs à l'évolution des conditions à réunir et en mesure d'attirer les investisseurs potentiels » a ajouté le ministre. Par ailleurs, Yousfi a souligné que « l'Algérie recèle de potentialités très importantes en hydrocarbures et c'est notre tâche de les mettre à jour » poursuivant que dans le domaine minier, il s'agit également "d'exploiter et valoriser les potentiels miniers en intensifiant l'exploration ». Rappelons que depuis 2005 et 2008, les exportations respectives des gazoducs Pedro Duran Farrell (GME, vers l'Espagne) et Enrico Mattei (Transmed, vers l'Italie) sont en mesure d'acheminer vers l'Europe des volumes significatifs de gaz algérien additionnels. Yousfi a expliqué que concernant la réévaluation des projets pétrochimiques pour renforcer une industrie en aval, « l'orientation du Chef de l'Etat s'inscrit dans le double souci de s'assurer que chaque projet non seulement permet de récupérer le maximum possible de la valeur de nos matières premières ». Tandis que « les filières de valorisation choisies permettent de développer en aval un véritable tissu industriel permettant de diminuer, voire supprimer les importations actuelles de produits finis ». A cet effet, il a indiqué que « nous continuerons à faire appel à des partenaires étrangers dans le respect de nos intérêts » précisant que « la fabrication d'une large gamme de produits par nos investisseurs nationaux, aussi bien publics et privés, est à encourager ». Pas de remise en cause de la politique d'investissement Le ministre de l'Energie et des Mines a affirmé hier que « le pays refuse de remettre en cause la politique d'investissements à long terme adoptée par Sonatrach, en dépit de la morosité actuelle des marchés gaziers et pétroliers ». « Les investissements réalisés par Sonatrach pour le renforcement de ses capacités de production et d'exportation de gaz naturel, s'inscrivent dans une vision à long terme et ne dépendent pas de conjonctures ou de circonstances particulières et ponctuelles » a-t-il déclaré. Précisant que « la rentabilité de ses projets ne peut-être évaluée que sur une période de 20 à 30 ans ». Il dira également que « la production de GNL issu des trains de liquéfaction en construction n'interviendra que dans un horizon de deux à trois ans » en montrant un certain optimisme, il explique que « nous sommes optimistes quant au timing de nos projets car la croissance de la demande devrait bientôt être au rendez-vous avec le redémarrage de l'économie des principaux pays consommateurs ». Autrement dit, Yousfi estime que « Sonatrach explore actuellement les débouchés potentiels les plus valorisants. Le groupe pétrolier national compte prospecter tous les marchés qui offrent une valorisation intéressante, y compris le marché asiatique ». Par ailleurs, il ajoute que « l'état actuel du marché gazier en Europe, avec une offre abondante de la Russie et l'arrivée d'autres fournisseurs sur ce marché très porteur et où la demande est constante, n'est pas de nature à mettre en danger les exportations de gaz algérien ». Au sujet des capacités d'exportation, il notera que « plusieurs projets ont été réalisés ou sont en cours de réalisation pour renforcer les capacités d'exportation de gaz naturel vers l'Europe ».