La pénurie subite d'un médicament connue sous la marque « Rebif » suscite chez les sujets atteints de la maladie de la ‘'sclérose en plaques'' à Sidi Bel Abbès une grande inquiétude, et des difficultés immenses à s'approvisionner de cette marque devenue introuvable au niveau des pharmacies de la région. Les concernés qui sont des centaines confirment que l'amélioration de leur cas est liée directement à la prise courante dudit médicament qui agit comme atténuant aux inflammations lors de la circulation et en cas de mouvements. A noter que la nature de la maladie de sclérose en plaques est une inflammation répétitive des os et les membres notamment inférieurs, le « Rebif » contribue, indiquent quelques patients, à l'amélioration des sujets atteints surtout dans un stade avancé. Cette rupture subite ajoutent ces patients, peut entrainer des complications sur l'état de santé des malades physiquement et spécialement, à savoir que la paralysie est le souci majeur qui inquiète les malades pouvant être une ‘'fatalité,'' . En effet, l'absence du « Rebif » des étagères des pharmacies et également des stocks de la pharmacie publique de l'hôpital, s'ajouterait au manque des autres produits tel que le « Tysabri» (Natalizumab) et ce, malgré toutes les instructions données par le ministre de la santé publique lors de sa visite à Sidi Bel Abbès le mois de mai écoulé et qui n'auraient pas été respectées afin de résoudre le phénomène de la rupture récurrente des stocks, en plus du départ des anciens neurologues du service de neurologie du CHU Abdelkader Hassani. Au sujet de la réalisation d'un centre de rééducation au sein de l'hôpital qui n'a pas vu le jour, malgré des promesses qui remontent à des années. La situation des malades atteints s'empire de jour en jour, qui ne trouvent pas d'autres solutions qu'à 'interpeller les hauts responsables pour leur venir en aide, et les soutenir au combat avec la maladie qui a chamboulé leur existence.