Suite aux pluies diluviennes qui se sont abattues avant hier dans l'après-midi, sur la ville de Mostaganem, le danger a été évité de justesse, vu la quantité imminente d'eau, qui a submergé la ville. Signalons à ce propos que ce problème porteur d'une tare inimaginable et si les pluies, n'avaient pas cessé de s'abattre sur la ville, une heure après. Dans ce contexte, il y a lieu de rappeler, que la catastrophe aurait put être, désastreuse aux conséquences très graves, étant donné que l'entretien des avaloirs, laisse à désirer. Cette situation chaotique, et l'état de déliquescence, des autorités, met en lumière l'incapacité, de prendre les mesures adéquates et conservatrices en cas de catastrophe naturelle. Le cas de Mostaganem, dans la gestion des crises peut s'avérer fatale et reflète, l'incompétence qui ne cesse de porter préjudice à cette cité, qui n'a pas fini, de subir les contrecoups, de la négligence. En effet, plusieurs citoyens de Mostaganem ont été surpris par une évidence amère, les avaloirs obstrués de certains quartiers et du centre ville, n'ont pu résorber toute l'eau des fortes pluies d'hier après-midi. En l'espace d'une heure c'est toute la ville, qui donnait l'impression d'être engloutie sous les eaux, celles-ci ont envahi les chaussées et les trottoirs. Les services de nettoyage n'étaient guère visibles aux alentours. Généralement, ce sont de rares agents qui font une apparition furtive, avant de s'éclipser. Pourtant la situation se répète à chaque année. Revendication récurrente de la population, les réseaux d'assainissement et ceux d'évacuation des eaux pluviales. A cette situation désolante, il faut ajouter la dégradation de certains axes routiers, des ruelles cachées et des regards, qui se dégradent sans que les services de l'APC, là aussi, interviennent. La rue n°1 Merzoug Salah à Kadous Meddah,en est l'illustration parfaite.