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LETTRE OUVERTE : A son Excellence, Monsieur le Président de la République. A Madame Le Wali de la wilaya de Mostaganem
O B J E T : Victime de la hogra depuis plus de 15 ans
Publié dans Réflexion le 23 - 02 - 2010

BOUSSOUF Abdelkader Mostaganem, le 23 Février 2010
52, rue Benyahia Belkacem
Mostaganem
J'ai l'honneur de venir respectueusement solliciter votre haute autorité à l'effet de vous exposer la situation qui prévaut à Mostaganem et dont je suis victime depuis plusieurs années, pour incitation à la corruption et le comportement inadmissible de certains responsables au niveau de l'administration, notamment la direction de l'environnement.
En effet, Monsieur Le Président, je suis issu d'une famille révolutionnaire connue, jouissant d'un très grand respect à Mostaganem et malheureusement, suis confronté à des responsables corrompus qui ne reculent devant rien allant jusqu'à me priver de mes droits reconnus par la loi et je ne suis pas d'ailleurs le seul à se demander jusqu'à quand perdurera cette léthargie paralysante qui sévit à Mostaganem.
En ma qualité de citoyen algérien, défendant mes droits conformément aux lois de mon pays, je dénonce haut et fort le laxisme, les négligences et le mutisme du directeur de l'environnement pour ne pas avoir respecté ses engagements pris devant ma personne, après qu'il ait daigné me recevoir à son bureau. Lors de notre dernière rencontre, il a été entendu qu'il ne ménagera aucun effort pour faire rétablir l'autorité de l'état par l'application de l'arrêté n° 659 du 29.08.2001, portant fermeture de la station de service sise à 52, rue Benyahia Belkacem, occupée pour l'instant illégalement par l'entreprise Naftal, sachant que le terrain servant d'assiette à cette station est ma propriété privée que j'avais acquise dans le cadre de la cession des biens de l'Etat en application de la loi de 1981. Non seulement, le directeur de l'environnement de la wilaya de Mostaganem reste imperturbable, mais semble ne pas vouloir prendre d'initiative dans le cadre de ses prérogatives pour mettre un terme à cette situation qui n'a que trop durer. En tout état de cause l'affaire m'opposant à l'entreprise Naftal concernant la récupération de mes biens est entre les mains de la justice, des documents administratifs, notariés et cadastraux, ainsi qu'une expertise ordonnée par l'instance judiciaire, ont été mis à la disposition du tribunal concerné pour trancher définitivement sur le dossier. Toutefois, un autre volet de l'affaire reste en suspend, à savoir la fermeture de la station en question pour au moins deux raisons indiscutables : La première, la station ne devrait pas être opérationnelle du fait qu'elle est sous le coup d'une fermeture administrative, et reste systématiquement tributaire de la décision du tribunal qui n'a pas encore trancher sur le dossier. La seconde raison qui est à mon sens encore plus grave, qui s'articule autour du danger imminent que représente ladite station. Pour mieux vous éclairer, Monsieur Le Président sur la situation actuelle des choses, je me permets de soulever que la station de service a fait l'objet officiellement d'une fermeture par l'arrêté wilayal susmentionné. Cette décision a été le résultat des conclusions de deux commissions d'inspection dépêchée sur les lieux les 27/04/2007 et 30/12/2007, et aux procès – verbaux respectivement n°016/E.A/D.E/07 et n°0050/E.A/D.E/07. Ces deux commissions ont relevé plusieurs anomalies qui pourraient être source de danger pour tout le quartier qui comprend plusieurs habitations et administrations publiques. Depuis ; la station est restée en l'état, sans que cette dernière ne soit fermée. Pire encore, insistant auprès du directeur de l'environnement d'appliquer les recommandations de la commission qu'il a lui même instituée, depuis plus d'une année, mais en vain. Ce n'est que devant le silence complice de ce responsable, que j'ai décidé par ailleurs de porter l'affaire relative à la fermeture de la station devant le tribunal administratif. Ce silence en dit long et je ne suis pas prêt de magouiller dans le but de récupérer mes biens. Plus de 20 quotidiens nationaux se sont saisis de cette scabreuse affaire, et à travers desquels, j'ai dénoncé le mutisme et le silence complice à tous les niveaux. Tous les arguments administratifs et juridiques ont été apportés par mes soins, mais le directeur de l'environnement persiste dans son obstination à ne pas vouloir appliquer la loi, alors pourquoi ? C'est la question qui reste sans réponse.
En conclusion, je me permets, Monsieur Le Président de la République, de porter à votre connaissance, d'autres informations plus graves concernant certains responsables qui versent dans la magouille et la corruption et je suis disposé à les dénoncer, je ne suis pas un corrupteur, je suis un honnête citoyen qui veut récupérer ses biens complètement piétinés et je sollicite que je sois rétabli dans mes droits. Ces manières de faire ne sont pas dignes d'un responsable sensé représenter l'autorité de l'Etat à l'échelle locale, c'est toute l'image de marque de la République qui en est ternie.
Veuillez croire, Monsieur Le Président de la République, à l'expression de ma considération la plus haute.
Le citoyen Boussouf Abdelkader


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