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LES ENJEUX POLITIQUES DE LA FRANCE EN ALGERIE : Des ‘'Coups Bas'' et des complots !
Publié dans Réflexion le 02 - 03 - 2010

« On regrette le départ de Georges Buch » C'est une phrase lâchée par un membre du G I G N, le groupement d'intervention, suite à la transaction faite par les gouvernements Français et Malien avec les terroristes qui détenaient des otages. La dite transaction supervisée par le ministre des Affaires étrangères M. Bernard Kouchner.
Le membre du G I G N, précisa « Buch, ne permet tait jamais une telle transaction ou un marchandage avec les kidnappeurs quelques soit leur origine. Mais quand le chat est parti la souris danse. Nous étions prêt à intervenir pour délivrer les otages hélas ! ».Alors autant analyser les choses, et ne pas prendre toutes les informations ‘'pour agent comptant''. Qui sont ces otages ? Et pourquoi toujours dans le même endroit des enlèvements se produisaient ? La première opération exécutée » par des islamistes armés, et qui s'est soldée par des morts à été vite réprimandée et ses auteurs arrêtés. Tous les moyens sophistiqués que disposait la France ne permettaient même pas à un chat de se faufiler au Sahara sans qu'il soit vite détecté, les satellites européens et américains tous branchés sur toute la superficie présumée abritait les terroristes. Même les convois des contrebandiers sont observés aux sous sol de la place de l'Arc du Triomphe à Paris et au 22 rue des Saussais (DGSE) .Donc la piste des terroristes Islamistes n'est point crédible. Les services français nous ont habitué aux divers genres de complots, depuis les années cinquante. Après la guerre d'Algérie, les mêmes procédés ont été repris pour duper l'opinion publique française et internationale- L'affaire des espions d'Ariane en 1987, l'affaire Luchaire, l'attentat terroriste perpétré contre le bateau de Greenpeace à Auckland, (Nouvelle Zélande) en 1985, l'affaire des Irlandais de Vincennes, et tant d'autres ‘'coup'' indiquent que les services spéciaux français, parce que, peut être, ils n'ont pas voulu ou pu élaborer une nouvelle approche du renseignement sont condamnés à user des mêmes vielles méthodes dites classiques, qui ont fleuri en Europe aux 18e et 19e siècle, que Hitler a remises au goût du jour au début des années 1930 et qui continuent de faire tant de dégâts en France et au Maghreb parce que la communauté internationale n'a pu inventer des normes, un modèle de conduite qui pourrait aider à une saine gestion des affaires internationale. En Algérie, durant la décennie noire, certaines investigations, laissez planer le doute sur de réelle participation des services français, dans certains coups, comme l'enlèvement et l'assassinat des sept moines de Tibehrine où le colonel Roger des services français serait impliqué, évidemment avec Jamal Zitouni qui n'était pas un inconnu de l'Ambassade de France à Alger ! L'affaire de l'avion d'Air France, l'Affaire de Marrakech, où les exécutants recrutés et manipulés par les services d'autre mer. Et tout cela rentrait dans le cadre de déstabiliser l'Algérie et aussi l'U M A. Si sa dort chez nous, là bas reste éveillé, me dira un ami.
Il y a aussi la rivalité entre les différentes directions du renseignement de la France.Dans le cas de l'attentat manqué contre l'agence Air France de Madrid, et pour lequel était utilisée de la main—d'œuvre recrutée par la D.S.T,c'était la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) qui était ciblée. Entre ces deux organismes chargés de la sécurité française, les coups bas ont été de mise depuis leur création. Le lecteur algérien qui a de la mémoire, peut évaluer l'ampleur de cette concurrence, en se remémorant la guerre qu'elle a engendrée de 1960 à 1962 au plus fort de la guerre algéro-française entre civils et militaires français, entre la DGSE c'était alors le SDECE à la DST, entre la direction des renseignements généraux et la Sécurité Militaire. Des ‘'coups'' aussi fumants, comme les avions renifleurs qui ont tourné en ridicule l'ex président Valéry Giscard d'Estaing
Jusqu'à présent, la majorité écrasante des diplomates reconnaissent qu'il n'est pas sérieux de vouloir moraliser ce qu'il ne peut l'être. A leur yeux, l'éthique et la politique étrangère sont antiéthiques, contradictoires, antinomiques et seuls les intérêts égoïstes prévalent. Ces diplomates ne s'attardent guère sur le cas français, tant la scène mondiale fourmille d'exemples : Panama, Colombie, Afghanistan, Angola, guerre des Malouines, Irak, Iran, Soudan, sont autant de ‘'cas'' redevables aux Etats-Unis et à la grande Bretagne qui ont bouleversé l'opinion mondiale, et qui l'ont confortée dans sa conviction que seul le droit du plus fort prévaut
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La manipulation des Politiques Français
De certains algériens durant les années quatre-vingt
En 1987, l'Algérie a été impliquée dans de type de transaction politiques mais un procès bien géré a étouffé le scandale et les services secrets algériens ont saisi cette opportunité pour nettoyer les écuries d'Augias due leur propre présidence entretenait par l'intermédiaire de la paierie générale à Paris. Cette institution algérienne mi bancaire mi politique employait du personnel discret, discipliné, français et algérien, qui avait la vue plutôt passé lorsqu'il s'agissait des transferts de fonds très importants. Mais d'une manière générale, même les déviations les plus lourdes répondre parfois à des motivations qui tiennent à des raisons d'état et il est relativement facile de les y faire tenir lorsque un président est bien ‘'couvert''. Les conséquences de l'héritage historique, par contre, sont infiniment plus dévastatrices- Elles sont en train de faire imploser plusieurs pays africains. En Algérie, elles déterminent presque toutes les démarches des différents acteurs politiques et impulsent à la société des pressions dont les effets se propagent jusqu'à la cellule familiale. Prenons un banal exemple concret pour illustrer ce phénomène : lorsque, en 1988, une dame algérienne politique et deux militantes de son mouvement reçoivent, à Paris, trois chèques d'un montant global d'environ dix-neuf pour organiser ‘'une journée d'étude'' sur la femme algérienne et la démocratie, aucun journal français n'en fait état. Pourtant, la rencontre a bien lieu dans une institution française, l'institut du monde arabe (I.M.A) dirigé alors par M. Edgar Pissani et la plus grosse partie de la subvention venait de trois ministères français, autrement dit, des fonds de l'Etat constitués en partie des impôts publics.
Une saine approche de cet événement voudrait qu'il ne s'agit là que de la concrétisation du soutien de la France à la culture, au droit à la démocratie et bien sûr à la protection des droits de la femme quelle que soit son origine ou sa nationalité. Cette dame politique, représentait une organisation, un mouvement féministe et un programme politique pour lesquels d'autres citoyens algériens et français militaient depuis 1981 et continuent de militer dans les deux pays. En Outre, cette dame n'était pas la seule à bénéficier de l'aide française, il faut de la publicité, des billets d'avion,entretenir partout les sphères politiques, payer les factures de téléphone.
Le ‘'Plan Bleu'' à déstabilisé
L'Algérie, en ouvrant la première
Brèche le mois d'octobre 88
Et le ‘'coup de grâce'' en 92
, Or ces activités ne peuvent être financées directement. Il faut sauvegarder les apparences et préserver la sécurité de ceux qui gèrent les opérations. Il faut surtout penser à moraliser l'action en cours et quelle meilleure couverture que celle des principes moraux.
Les milieux universitaires, ceux des arts, des lettres, le corps de la médecine, la fonction publique elle-même fourmillent de gens qui travaillent simultanément, chacun sur un programme défini dont les résultats doivent concourir à la réussite d'un même but.
La venue de Bouteflika a mélangé
Les cartes maîtresses et l'Algérie
N'est plus ‘'chasse gardée'' de la France
1999, M. Abdelaziz Bouteflika, est élu Président de la République, lui l'audacieux diplomate savait toutes les manigances complotées au delà de la méditerranée. Il a mis un terme à cette ingérence, en procédant à un nettoyage interne. Voir même le rallye Paris-Alger-Dakar ne passe plus par notre pays. Ce qui poussa et contraint les ingérences à se se tourner vers les pays du Sahel et surtout la Mauritanie. Le reste est connu.


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