Les séquelles de la répression barbare et sauvage d'il y a 56 ans à Paris en France, commise au nom de la ‘'Liberté, de l'Egalité et de la Fraternité'', par la France ‘'civilisée'' de l'époque, sur des algériens sans défense et sans armes, un certain 17 octobre 1961, sont encore d'actualité aujourd'hui dans les mémoires des algériens (es). Les rares rescapés encore vivants de l'horreur de cet évènement ‘'génocidaire'', portant atteinte volontaire à la vie d'autrui, s'en souviennent encore aujourd'hui. Des témoins français et étrangers condamnent l'acte barbare Les conséquences de la sauvagerie et l'horreur du drame du 17 octobre 1961, n'ont laissé personne indifférent, dans le monde entier, c'est pourquoi elles ont été immortalisées par quelques témoins de l'horreur où écrivains, journalistes et autres âmes sensibles, ont rapporté les faits, dont on peut citer par exemple, l'historien Gilles Manceron qui a intitulé son article ‘'ce 17 octobre 1961 : "Ce massacre a été occulté de la mémoire collective", ajoutant : ‘'L'exécution de plus d'une centaine de manifestants algériens à Paris le 17 octobre 1961 reste méconnue'' paru dans le journal le monde etc.... et tant d'autres auteurs et journalistes qui ont rapporté les faits de cette tuerie barbare. Ces témoignages ont fait revivre dans l'esprit des lecteurs, l'horreur, les exactions dans tout leur paroxysme...,de tous les actes condamnables, contraires à toute logique ou moralité qui ne peuvent effacer les souvenirs douloureux. Toutes ces horreurs ne peuvent jamais être cachées, ni oubliées, du jour au lendemain, surtout quand il s'agit d'exécutions volontaires de masses préméditées contre des personnes, pareilles à une extermination à ‘'l'holocauste nazie''. Il ne s'agit pas d'un simple fait divers, portant sur un accident ayant couté la vie à une seule, deux, voire dix personne à relater, au contraire, il est question de dizaines de vie humaines exécutées, massacrées et abattues lâchement et froidement par les ennemis de la liberté de l'Algérie, et rapportées par les médias. C'est pourquoi, il faut que l'histoire de la colonisation de l'Algérie par la France soit contée, il ne faut pas qu'elle passe inaperçue, et surtout la faire connaitre à travers nos livres d'histoire pour décrire les crimes horribles commis à la façon ‘'nazis-sionistes à la française'' par les hordes sauvages et barbares de l'époque, sur des innocentes victimes algériennes assoiffées de liberté, qu'ils soient d'Algérie, de France ou d'ailleurs. Exécutions en masse, massacres, noyades, tueries..... Les jeunes générations montantes de toutes les nations du monde quel que soit leurs origines ont le droit et le devoir de connaitre la vérité, et savoir ce qui se cachait derrière ce complot dramatique qui porte atteinte non seulement au principe de la ‘'Liberté, de l'Egalité et de la Fraternité'' mais aussi porte un coup sévère au droit des autres de disposer de leur souveraineté dans toute sa légitimité. Ce 17 octobre 1961, a démasqué les criminels, les trompeurs, hypocrites et les ennemis de la liberté qui se sont avérés ‘' colonialistes et impérialistes'' d'une France criminelle, de l'époque. Les tristes et réputés criminels machiavéliques, ont sans aucun doute, hérité du nazisme hitlérien, que le monde qualifie de mauvais et de plus abject. La lâcheté maladive, haineuse et sans égale dont ils ont fait preuve contre des êtres humains traités comme des bêtes que l'on dirige vers les abattoirs, par ce colonisateur français, a conduit, aveuglément et sans discernement, à des meurtres, des assassinats, des exécutions, des tueries, des dépassements, des agressions physiques et morales sur des algériens sans défense. Ces algériens bâtisseurs de la France ont manifesté, pacifiquement à Paris, pour réclamer tout simplement un droit à la liberté de circuler, un droit bafoué, en cette nuit d'horreur , s'éternisant pour les malheureuses victimes, prises au piège par des hordes sauvages, sans état d' âme, ni scrupules. Retour sur les évènements du 17 octobre 1961 « Ainsi le nombre de victimes de ce 17 octobre 1961 évoqué aujourd'hui tourne autour des 200 morts désormais. "Il s'agit de la répression d'Etat la plus violente qu'ait jamais provoquée une manifestation de rue en Europe occidentale dans l'histoire contemporaine", » ont écrit à ce sujet les historiens britanniques Jim House et Neil Mac Master, auteurs en 2008 de ‘'Les Algériens, la République et la terreur d'Etat'', cités par leur homologue français Gilles Manceron dans ‘'Le Monde du 17 octobre 2011. ‘' L'histoire raconte que ce 17 octobre 1961, restera à jamais gravé dans les esprits de chacun, il s'agit d'une toute petite partie de l'histoire, horrible, de la révolution algérienne, liée à l'insurrection de tout un peuple algérien assoiffé de liberté .Durant la guerre de l'Algérie des années 1950 et début 1960 , à Paris en France,dans le pays soit disant dit des ‘'droits de l'homme'', au fief même des commanditaires et tortionnaires de l'horreur et de la mort, eut lieu un évènement occulté. Il a été raconté par tous les médias du monde, et très particulièrement ceux de la France. Cet inoubliable épisode du massacre collectif a marqué éternellement des mémoires sur la sanglante guerre d'Algérie, laquelle a duré plus de 7 ans, au sein même d'une colonisation de 130 ans, grêlée par des viols, des tortures, des emprisonnements dans des camps de concentration, des massacres, des vols, etc... Il y a 56 ans ,jour pour jour, à Paris en France, un certain 17 octobre 1961, un massacre d'algériens a été organisé et perpétré par des criminels ‘'nazis-sionistes français ‘commandés par le célébrissime préfet et bourreau qu'est le dénommé ‘' Maurice Papon''.Ce fut la marionnette du pouvoir de l'époque, qui a ‘'lâché ‘un très grand nombre de policiers sanguinaires avec l'ordre de réprimer sauvagement des manifestants pacifiques .Cette manifestation a été organisée par la Fédération de France du Front de Libération Nationale algérien (FLN), à Paris. Bien sûr, c'est avec la bénédiction d'un gouvernement sourd, aveugle et muet de cette ‘'douce France'' mère des libertés de l'époque que le crime a été consommé. Le seul tort de ces algériens, résidents en France, massacrés était une simple revendication légitime, sensée de leur donner un droit de circulation à Paris, de nuit comme de jour, et ce suite à un couvre feu, décidé et instauré spécialement pour la communauté algérienne résidente en France. Selon les statistiques avancées par les médias français, le nombre des algériens présents à la manifestation, suite à l'appel du FLN (fédération de France), protestant contre ce ‘'couvre feu'', variait entre 30 000 et 50 000. En cette nuit du 17 octobre 1961, il y aurait eu 11.730 arrestations, et peut-être beaucoup plus de 200 morts, noyés ou exécutés, parmi les Algériens, où on lit dans un article rapporté par le journal Rebellyon -Info intitulé ‘' Le massacre du 17 octobre 1961 à Paris : "ici on noie les Algériens !''. Ce crime au cœur de l'Etat français n'a toujours pas été reconnu officiellement, alors que certains ont été retrouvés, plus tard dans la Seine. Après l'horreur, les tueries..., le couvre feu a été requalifié par les autorités criminelles françaises, comme étant ‘'simplement'' une interdiction de circuler, interdiction qui cachait bien des ‘'choses inavouables''. Cette autre version ne dupa personne, vu la gravité des actes, ‘'couvre feu ou interdiction de circuler, cela a le même sens, c'est la même chose, c'est kif kif, et c'est pareil en tout cas, enfin tous ces synonymes ont le même sens d'explication. Malheureusement, le crime était commis, et nulle explication ou justification ne pouvait sauver la face d'une France coloniale des exécutions ‘'sommaires'' et purement gratuites commises contre des innocents à qui on a tout volé : leur pays, leur liberté, leur dignité et le droit sacré de vivre.