L'insécurité semble de nouveau planer sur les milieux universitaires. Une bagarre rangée entre étudiants, a fini par causer des blessures à un cuisinier et à deux agents de sécurité Aux environs de 12h, de ce mardi 13 février 2018, tout a basculé dans un climat de violence jamais égalé auparavant et ce, suite à une bagarre rangée entre étudiantes libres et certaines étudiantes relevant d'organisations estudiantines qui ont voulu inciter de force les étudiantes à observer des grèves et après quelques altercations, le resto a été fermé et une bagarre générale a éclaté où rien n'a été épargné et se servant de chaises, les étudiantes se sont échangées des menaces qui ont abouti à des réactions de violence. Cette situation au niveau du resto n'a pas laissé les agents de sécurité indifférents en vue d'une intervention pour faire disperser les foules d'étudiantes et durant ce moment, des étudiants garçons qui assistaient à une activité culturelle animée par certaines organisations estudiantines et après s' être informés sont venus en renfort munis de gourdins et d'armes blanches où leurs premières cibles étaient les agents de sécurité. Durant ces moments, un véritable climat de violence s'est installé et un climat d horreur et de panique s'est emparé des filles résidentes où les cris provenaient de toutes parts, apprend-on auprès de nos sources présentes sur les lieux. Cette bagarre s est soldée par la blessure d'un agent de sécurité au niveau de l'oreille à l'arme blanche et a été évacué à la salle de soins de la résidence universitaire et un autre agent a fait l'objet d'une fracture de pied et se trouve actuellement à l'hôpital de Tiaret tout à signaler qu'un cuisinier a été agressé à l'arme blanche et les auteurs ne sont que des étudiants relevant de certaines organisations estudiantines qui veulent imposer leur diktat et faire main basse sur l'université de Tiaret et sitôt informés, les services de police judiciaire relevant de la 10eme sûreté urbaine sont intervenus et ont pu maîtriser la situation. Une enquête est en cours et les auteurs des agressions ont été convoques par la police.