L'université ibn-khaldoun, située dans une wilaya de l'Ouest algérien, se trouve à la croisée des chemins, et souffre le martyre, en effet la nomination d'un nouveau doyen de la faculté de droit et sciences économiques, s'est transformée en guerre de tranchée et d'une… manière peu orthodoxe pour un poste dans une institution censée être « la crème » de l'élite algérienne. La « chipa », « chkara », le « passe droit »,les « menaces » sont autant de comportements dignes d'une « pègre » devenue le quotidien de cette institution. En effet un maitre assistant, qui postule pour ce poste utilise tous les moyens afin d'arriver à ces desseins douteux, ce dernier connu par ces « fresques » ,et son incompétence, crie sur tous les toits, que son influence et ces connaissances au sein du département de Harouabia en personne, ainsi que sa « chkara » vont l'introduire à ce poste, et par la force s'il faut «dixit" notre illustre inconnu du bataillon, et ce, pour la simple raison qu'il est originaire d'Alger et a exercé au sein du ministère…… et dire que l'ère du régionalisme est révolu, mais notre infortuné professeur, oublie que seule la" compétence" et "l'honnêteté intellectuelle" priment dans un pays qui a payé un lourd tribut suite à la « liquidation » par les horde sauvages des intellectuels, et la fuite des cerveaux, et ce, suite à ces comportement néfastes.