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Présidentielle : combien ça coute ?
Publié dans Réflexion le 23 - 01 - 2019


Alors que l'opinion publique attend toujours pour connaître les vrais prétendants à la présidence et leurs programmes, des anonymes se bousculent au portillon. Tous les candidats à l'élection présidentielle ont droit, dans la limite des frais réellement engagés, à un remboursement forfaitaire de l'ordre de 10%. L'aide de l'Etat n'est pas toujours assurée, selon la loi qui précise que le financement de la campagne se fait à travers la contribution des partis et les revenus des candidats. Les dépenses de campagne d'un candidat à l'élection de la présidence de la République ne peuvent excéder un plafond de 100 millions de dinars pour le premier tour. Ce montant est porté à 120 millions de dinars en cas de deuxième tour. Lorsque les candidats à la présidentielle ont obtenu un taux supérieur à 10% et inférieur ou égal à 20% des suffrages exprimés, le remboursement est porté à 20% des dépenses réellement engagées dans la limite du plafond autorisé et à 30% pour les candidats ayant obtenu plus de 20% des suffrages exprimés. La loi n'a pas précisé ni détaillé les autres aspects de financement par L'Etat de l'organisation d'une élection, comme la présidentielle. Mais, il est évident que L'Etat prenne en charge des dépenses relatives aux indemnités des personnels engagés dans l'opération électorale et des magistrats chargés de la surveillance du vote, aux transports, à la confection des bulletins de vote, à la sécurisation des lieux de vote, à la restauration des agents de l'Etat impliqués dans l'organisation du scrutin, à la logistique et au marketing électoral. Alors une question : pourquoi les élections législatives et locales, qui exigent plus de moyens compte tenu du nombre des candidats et des partis engagés dans la course, coûteront moins cher qu'une seule élection, la présidentielle de 2019 ? Inflation ? Dévaluation du dinar ? Surcoûts imprévus ? L'absence d'une loi sur le règlement budgétaire, qui contrôle les dépenses autorisées par la loi de finance, ne permet pas d'avoir une réponse précise.

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