Pour certaines infrastructures, la réception ne date que de quelques années, et pour d'autres l'attente semble s'éterniser malgré le fait qu'elles sont achevées depuis longtemps pourtant à l'époque, elles ont fait couler beaucoup d'encre, mais aujourd'hui, ces inaugurations tombent en ruine. Des mains malveillantes n'ont cessé de s'y attaquer, après les jets d'eau d'El-wiaam et de l'Emir Khaled dont il ne reste que des squelettes et des bassins remplis de détritus le tour est venu aux locaux commerciaux qui après constatation risqueront de partir en miettes aussi et au rythme ou vont les choses et si aucune mesure de prévention n'est prise par les parties concernées, ces infrastructures deviendront de vulgaires espaces ouverts aux quatre vents où finiront par s'amonceler les ordures et attirer les rejetés de la société et autres délinquants. Quand les commodités manquent. Apparemment rien n'a changé dans la capitale de l'Ouarsenis et les conditions de vie sont restées toujours les mêmes malgré les énormes subventions allouées par l'Etat dans le but de développer et promouvoir la wilaya notamment le chef-lieu. Beaucoup plus, la situation ne s'est aggravée avec l'agrandissement de cette agglomération qui compte maintenant plus de (100,000) ames qui restent toujours dépourvues de la plupart des commodités. Sur ce sujet les autorités locales sont appelées plus que jamais à intervenir et prendre en charge les problèmes relevant de l'urgence notamment l'aménagement de la partie haute de la ville ou la dégradation du cadre de vie touche le fond ; voies et chaussées éventrées, poussière, déchets ménagers, routes inachevées, absence d'éclairage public, des carences flagrantes qui ne font qu'accélérer la détérioration du cadre de vie. Cet état de fait est tel que l'indécence fait partie du quotidien notamment au centre ville, les murs des habitations et des établissements étatiques deviennent des urinoirs faute de toilettes publiques. Ce incivisme forcé et dénoncé ne semble pas émouvoir les responsables quant à la prise en charge de ces commodités qui font toujours défaut au détriment d'autres projets coûteux dont certains frisent le ridicule.