la ville Mostaganem vient d'être secoue par une histoire invraisemblable de détournement et de viol sur mineure âgée d'à peine de 7 ans, dont son auteur n'est autre qu'un avocat relevant du barreau de Mostaganem, B. Lahcène, actuellement en fuite et activement recherché par les services de sécurité la ville Mostaganem vient d'être secoue par une histoire invraisemblable de détournement et de viol sur mineure âgée d'à peine de 7 ans, dont son auteur n'est autre qu'un avocat relevant du barreau de Mostaganem, B. Lahcène, actuellement en fuite et activement recherché par les services de sécurité Après l'affaire de l'inceste dont nous avions reproduit les faits dans notre édition du 25 Février 2009, voilà que la ville Mostaganem vient d'être frappée encore une fois, par une histoire invraisemblable de détournement et de viol sur mineure âgée d'à peine de 7 ans, dont son auteur n'est autre qu'un avocat relevant du barreau de Mostaganem, B. Lahcène, actuellement en fuite et activement recherché par les services de sécurité.Comment pourrait-on aborder cette sordide histoire. Une histoire dont Mostaganem en a été malheureusement le théâtre. Par un 8 mars, journée mondiale de la femme, où toutes les femmes, filles et jeunes filles comprises célébraient leur jour de fête, un monstre, sous l'apparence d'un avocat respecté et profitant de la confiance placée en lui par les habitants, détourna une fillette innocente âgée d'à peine 7 ans, la violenta sans aucun scrupule dans son cabinet sis à Tigditt. En effet, selon les informations recueillies, l'affaire remonte au 8 mars 2009 entre 7 et 8 heures, l'indélicat avocat rejoignant son cabinet sis à Tigditt, le plus ancien quartier populaire de la ville de Mostaganem, aurait accosté sa victime une fillette de 7 ans, prénommée T. Amina, il l'emmena sous la contrainte jusqu'à son bureau, où il abusa d'elle avec violence sans le moindre remord. Violée, et traumatisée, elle ne comprenait rien à ce qui vient de lui arriver. Profitant d'un moment d'inattention de son bourreau, la jeune fille réussit à s'échapper et alla alerter son père de ce qu'elle venait de subir. Ce dernier, complètement désemparé, s'en ira directement déposer une plaine auprès des services de la police judiciaire de la sûreté de wilaya. Aussitôt, la plainte enregistrée, les enquêteurs, eux même abasourdis par cette histoire, se sont mis immédiatement à la recherche du sadique, qui semblerait qu'après avoir commis son forfait, aurait pris la fuite. Il est activement recherché par les services de police. La victime, élève à l'école primaire Benzaza à Mostaganem, se trouverait selon nos informations, dans un état psychologique lamentable et nécessiterait une prise en charge sérieuse par des spécialistes en la matière. Par ailleurs, nous apprenons d'autres sources, que le bâtonnat de Mostaganem, réuni en séance extraordinaire, avait décidé de geler toutes les activités de cet avocat, et ce jusqu'à sa comparution devant l'instance judiciaire compétente et la décision qui en découlera. Un acte aussi odieux commis par un avocat censé représenter la justice et censé être le défenseur du droit, et tenu par ses obligations professionnelles de protéger les sans défense et les démunis, notamment les enfants, Un avocat, qui a terni l'image de marque de toute une corporation de par son comportement monstrueux, un avocat indigne de ce noble métier. Le mis en cause posséderait deux appartements, dont l'un dans la wilaya d'Oran et l'autre à Mostaganem qui l'utiliserait pour ses rencontres intimes. Le plus grave et le plus impardonnable dans cette affaire, que le crime soit commis cette fois par un individu pas comme les autres aux yeux de la société, « un avocat », qui aurait bien planifié son action, en choisissant une date symbole pour commettre son acte horrible, qui dépasse tout entendement, où toutes les jeunes filles, accompagnées de leurs mamans, allaient fêter cette journée du 8 mars.