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MOSTAGANEM : Les citoyens outrepassent la réglementation de la circulation
Publié dans Réflexion le 07 - 07 - 2010


Face à l'excès de vitesse des véhicules conduits par des chauffards qui n'hésitent pas à rouler au delà de la vitesse autorisée au sein même des agglomérations, certains citoyens craignant pour leurs vies et celles de leurs enfants qui traversent la route, sans être conscient du danger qu'ils encourent. Ces citoyens n'ont pas trouvé mieux, que de mettre en place au travers des routes de gros cordages, pour obliger les automobilistes à ralentir, à l'approche de ces obstacles qui parfois sont installés sans prévenir Cette façon de procéder, est devenue courante et selon certains citoyens interrogés, ces derniers nous on déclaré, que vu le danger qui menace leurs enfants, il fallait mettre un terme à l'excès de vitesse et à cette situation qui fait que ces bolides, ne respectent même plus le code la route et que la mise en place d'un système de ralentissement obligatoire, était la seule solution pour éviter qu'un drame ne se produise. Il y a lieu de signaler que ces citoyens ont carrément installée de gros cordages de bateau de bout en bout de la chaussée pour obliger ces fous du volant à diminuer de vitesse, surtout à travers les ruelles des cités, très fréquentées. Mais ces ralentisseurs se sont multipliés à travers les cités et ont poussé certains automobilistes à se plaindre à leur tour de cette anarchie et de ces ralentisseurs de fortune, qui selon eux seraient la cause de la dégradation de leurs véhicules, ce qui les oblige à dégrader de vitesse à chaque détour de rue, d'autres préfèrent se garer et continuer à pied, pour aller à leurs occupations. Face à cette anarchie non moins dérangeante, pour ce qui est de la circulation, nous nous sommes déplacés à la direction des travaux publics qui s'occupe de l'entretien des routes, un technicien nous confirme que les « dos d'ânes » ne peuvent être installés qu'après l'étude de la route concerné et après évaluation du taux de fréquence de véhicules de la dite route, donc toute intervention étrangère à la direction des travaux publics, sur une route qui relève du domaine étatique n'est qu'une ingérence condamnable et punissable par la loi, en clair les personnes qui installent des ralentisseurs sans l'aval de la DTP, sont des individus qui risquent de gros ennuis avec la justice en cas de plainte. Quant à la police, cette pratique de mise en place de ralentisseurs sans l'aval de la DTP, est anormale et doit prendre fin, car toute loi demeure du ressort de l'état, aussi le citoyen doit se plaindre à l'autorité qui le défend et le protège, il ne peut aucunement s'autoproclamer justicier, mais tant qu'aucune plainte n'a été enregistrée, les éléments de la police ne peuvent intervenir. Le respect de la loi doit primer en tout lieu et en toute circonstance, l'anarchie ne peut pas régner au sein d'une République qui tend à se développer harmonieusement.

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