Apparemment certaines pratiques néfastes ne disparaîtront pas de sitôt si l'on considère « la couverture » qu'elles bénéficient de la part de certains, d'ou il est impératif l'intervention des responsables concernés, n'a t-on pas dit que l'habitude est une seconde nature ? dans ce contexte il paraît urgent de dénoncer l'état dans lequel se trouve actuellement le cimetière des chouhada qui se trouve à la rentrée de la ville de Ouled-Bessam, ce cimetière est depuis des années livré au vandalisme et à la dégradation, il est saccagé et transformé en lieu de débauche, de sodomie et autres jeux de cartes et pratiques illégales, cette dure vérité est vérifiable notamment dés la tombée de la nuit, des groupes de jeunes se partagent les coins sur « un joint », ou sur « un fiole », le mal est vu par tout le monde, le paradoxe aussi, d'un coté un lieu sacré et auguste transformé en coin de beuverie et de débauche par l'inconscience et l'incivisme des jeunes désœuvrés et oisifs et de l'autre, des responsables qui ne font rien pour nettoyer ce lieu et le préserver en tant que tel. Sur ce sujet les autorités locales sont appelées plus que jamais à intervenir et prendre en charge les problèmes relevant de l'urgence notamment, pour ce lieu qui a une grande portée religieuse et historique