En recevant hier les membres des familles des détenus , pris en otages par les terroristes et activistes islamistes au Sahel et dans le Nord du Mali occupé, le Président François Hollande a déclaré que la France a décidé de ne plus payer de rançons pour leurs libérations. De part cette déclaration, la France reconnait implicitement qu'elle a toujours payé auparavant ces rançons.Ceci constituait des précédents dangereux en permetant ce « commerce » juteux qui donne à certains d'accumuler des fortunes colossales pour financer des activités terroristes criminelles dont l'une des conséquences est l'attaque du site gazier d'In Amenas. En prenant cette décision dont la demande d' interdiction a été relayée au plus haut niveau des Nations-Unis par l'Algérie qui a combattait seule ce phénomène transnational, la France a envoyé un signal fort à la communauté internationale et surtout aux criminels pour souligner que seule la fermeté prime en ces circonstances.