Circuler à Oran, et tout particulièrement au centre-ville, est un exercice éprouvant pour les automobilistes. Le réseau routier n'y a pas changé d'un iota depuis des décades. Au contraire, à certains endroits, il a même considérablement rétrécit, (...)
Situé à environ deux bornes de la ville de Sidi Bel-Abbes, presque au pied du mont Tessala, commune d'Aïn Trid, le site abritant le lac de Sidi M'hamed Benali est un lieu naturel à la beauté unique, attirant durant les week-ends et les vacances (...)
A un jet de pierre d'Oran, dans le cimetière des martyrs de la localité de Zahana (Mascara), se dresse, derrière la stèle arborant les noms des Chouhada de la région, une sépulture à l'ombre d'un arbuste.
Sur la pierre tombale, est gravé un verset (...)
Longtemps terre de transit pour les migrants dans leur quête du mirage européen et l'appel des sirènes miroitant une meilleure vie, l'Algérie est devenue ces dernières années une terre d'immigration pour les Subsahariens. Une destination finale pour (...)
On dit que celui qui va mourir voit défiler devant lui toute sa vie, dans le moindre détail, en un bref instant.
Vrai ou faux, personne n'est jamais revenu du royaume des morts pour l'affirmer ou le démentir. En tous les cas, c'est là un artifice (...)
L'association «Bachaïr Chifa» de Relizane vient de recevoir des pouvoirs publics un budget de six milliards de centimes et un terrain de plus de 500 mètres carrés pour ériger une «clinique» spécialisée dans la roqia et la médecine traditionnelle (...)
Mohamed Ali, l'homme qui a assassiné, en septembre 2008, Yasmine et Sabrina Larbi-Cherif, deux sœurs d'origine algérienne, filles d'un haut fonctionnaire de Sonatrach, vient d'être condamné à la réclusion à perpétuité par la cour royale de justice (...)
A quoi servent les poteaux de l'éclairage public sur la route de Aïn El-Beida ? A rien ! La nuit, on ne les voit même pas, ou à peine s'ils sont visibles grâce peut-être à la réverbération de la lumière de quelque étoile sur la peinture blanche ! Un (...)
Finalement, l'arabe imaginaire n'est pas aussi imaginaire qu'il paraît dans «La Préface du nègre» de Kamel Daoud. Il n'a en vérité d'imaginaire que l'anonymat que lui confère la fiction d'un recueil de nouvelles. Ce n'est qu'un cliché, un arabe (...)