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Un des proches d'Abou Zeid arrêté en possession de 1.7 million d'euros Les services de sécurité récupèrent une partie de la rançon pour la libération des otages français
Les services de sécurité spécialisés dans la lutte antiterroriste ont arrêté deux personnes soupçonnées d'appartenir à un groupe terroriste, avec en leur possession 1.7 million d'euros, des armes légères et des documents. Les enquêteurs pensent que cela pourrait s'agir d'une partie d'une rançon versée pour la libération des otages occidentaux détenus par Aqmi. Les services de sécurité ont soumis les billets à des analyses dans des laboratoires spécialisés, et ont demandé des données à de grandes banques dans le cadre de la lutte contre le blanchiment d'argent pour pouvoir tracer cette somme de 1.7 million d'euros et de 40 mille autres dollars, et les derniers endroits ou ils ont circulé, et ce dans le cadre de l'enquête sur une possible rançon que l'un des proches du terroriste Abou Zeid a tenté de faire passer de l'extrême sud vers la capitale via le RN1. Les services de sécurités ont arrêté lors d'une opération spéciale planifiée durant plusieurs semaines, à 180km au nord de Tamanrasset, deux éléments de l'organisation d'Al Qaida au sahel, et proches du terroriste Abdelhamid Abou Zeid « Hamid Soufi », avec en leur possession la somme de 1.7 million qui pourrait être une partie de la rançon versée pour la libération d'otages français. Une source proche de l'enquête a indiqué que les deux suspects sont algériens, le premier originaire de la daïra d'El Menia et le deuxième de la de Oued Souf et sont des proches du terroriste Abou Zeid, et qu'ils étaient recherchés par les services de sécurité dans le sud depuis 1998.
