L'ancien centre de formation administrative (CFA), situé non loin de la gare routière, devenu institut dépendant de l'université Ferhat Abbas de Sétif, n'en finit pas de faire parler de lui. Regroupant les instituts de langues, d'interprétariat et l'université de la formation continue (UFC), les bâtiments, en état de décrépitude avancé, sont ouverts au public estudiantin qui n'arrive pas à y tenir longtemps. Les salles, en ruine, sont noyées d'eaux à la moindre bruine, les vitres absentes et le chauffage central ne fonctionne pas. Devant cette situation sans solution, étudiants et enseignants boycottent les cours à tour de rôle. Qui y gagne dans l'affaire ?