Les candidats malheureux d'un concours de recrutement de chauffeurs, organisé par la commune de Aïn Azel au mois de novembre dernier, mettent en doute « l'honnêteté »dudit concours. Par le biais d'une correspondance, ils demandent aux instances concernées de dépêcher une commission d'enquête au sujet de l'organisation et des circonstances du déroulement du concours -dont ils remettent en question la légalité- ainsi que sur le choix des lauréats. Selon leurs dires, l'agent, chargé de départager les dossiers des candidatures n'est même pas titulaire d'un permis de conduire catégorie poids lourd. De plus, l'apparition du nom de l'oncle maternel du P/APC, et dont l'âge dépasse les 50 ans, fait grincer des dents. Le P/APC de Aïn Azel, lui, affirme que le lauréat à ce concours aura droit à un contrat de travail d'une année et que la direction de la fonction publique a donné son aval ; il n'a même pas nié la réussite de son oncle, arguant du fait que la loi n'imposait aucune limite d'âge, et que donc le concours s'est déroulé dans les règles.
