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Ta maziptt entre le politique, le scientifique et l'académique
Publié dans El Watan le 06 - 12 - 2004

Ces auteurs qui font dans la diversion soulèvent le courroux de sincères militants de la cause ta maziptt autant qu'ils font rire sous cape les détracteurs de cette langue. A ces abominables allégations mensongères, les académiciens de ta maziptt et de toute autre langue rétorqueraient avec véhémence, dégoût, et consternation :
«Il n'y a que les aboiements de chiens, les beuglements de vaches, les miaulements de chats qui puissent se transcrire dans deux différents alphabets.» Mais, jamais une langue censée être impulsée à l'école ! Il est donc déplacé, pour ne pas dire insultant de prétendre pouvoir écrire une «langue» tamazight dans notre cas, en employant «deux» différents alphabets. Quant à parler de «trois», c'est vraiment aberrant, ridicule et stupide! Sachant que, dans aucune langue, l'orthographe ne correspond parfaitement à la prononciation, ta maziptt ne saurait s'écrire que dans un seul alphabet, celui qui répond, satisfait ses exigences orthographiques et grammaticales pour instruire des élèves de sept ans nationaux et étrangers. Toutes les langues ont d'abord été orales, leurs interlocuteurs et interlocutrices les parlaient avant de savoir les écrire. Quand ces mêmes interlocuteurs et interlocutrices se mirent à écrire leur langue, ils n'éprouvaient pas cette nécessité de les expurger de quelques phonèmes qui ne furent pas les leurs comme dans le cas de ta maziptt qui souffre de l'intrusion du phonème H et  (H avec un point en dessous et l'epsilon grec). Les académiciens de différentes langues, avant d'adopter un substantif étranger, ils l'expurgent de tout son (phonème) étranger aux leurs. C'est pourquoi les lexicographes français peuvent admettre dans le Petit Larousse et le Robert un substantif comme :
– A xam (une maison) ;
Mais comme dans le système phonique français le phonème X (KH) n'existe pas, il est alors remplacé par un des leurs qui se rapprocherait.
A xam ou akham, pourra donc être transcrit akam et lui donner des définitions qu'ils lui connaissent. Dans le Petit Larousse de 1978 en pages à initiale B, nous découvrons :
– Burnous.
Au lieu de : «A veprinues» (en ta maziptt). En définition, nous avons lu : «Habit berbère porté par les Arabes.» Notre propos n'est pas de contester le côté orthographique des lexicographes français, mais celui de définitions faites avec une légèreté déconcertante. En ta maziptt, depuis Hanoteau, Boulifa, Mammeri, HCA, Inalco, Ircam, on continue de confondre graphème et phonème en matière d'écriture de la langue ta maziptt. Ces auteurs, les composantes humaines de ces structures et bien d'autres, n'hésitent pas à affecter un graphème à chaque phonème pour écrire tamazight. Pourtant, il arrive souvent à ces auteurs d'avouer du bout des lèvres que les phonèmes
(h et ) sont étrangers à la langue ta maziptt et au système phonique de cette langue. Le ridicule ne tuant toujours pas, ces auteurs, aux lieu et place de procéder à leur éviction, ils s'échinent, s'éreintent, se masturbent les méninges en s'ingéniant à leur affecter, à leur trouver des «graphèmes» en caractères latins modifiés, diacritisés ou en caractères grecs.
Des emprunts
Dans une langue qui se respecte, on ne parle pas d'emprunts assimilés et d'emprunts non assimilés. Dans une langue qui se respecte, ou bien le terme emprunté est assimilé oralement tout comme orthographiquement ou il est vomi ! Ta maziptt dans sa quête d'emprunts, il lui est facile de se les découvrir, de se les procurer, du français que de l'arabe.
Aussi bien pour les élèves de sept ans que ceux de soixante-dix-sept ans, il est plus facile de les convaincre que : Sont des substantifs i mazipen, car très bien assimilés par la langue, orthographiquement comme oralement. Or, les substantifs arabes sont quasiment rejetés par la morphosyntaxique de la langue ta maziptt.
Nous citons pour exemple :
Ne sont assimilés ni oralement ni orthographiquement par la langue ta maziptt.
On remarque la présence de phonèmes (H et ) qui sont étrangers au système phonique a mazip, et à l'alphabet universel (latin).
Les substantifs
Ne respectent aucune règle orthographique ou morphosyntaxique de la langue ta maziptt. Ces substantifs et bien d'autres entrant dans cette grille, dans l'intérêt d'une ta maziptt enseignable à des élèves de sept ans, appelés à mieux maîtriser que nous ta maziptt dans un futur proche, ils sont à évincer oralement et scripturairement.
La néologie
En essayant de traduire un texte du français à ta maziptt, on s'est, tout à coup aperçu de la pauvreté, de la faiblesse terminologique dans ta maziptt. M. Mammeri, le premier essayiste à vouloir combler ce vide, se heurta à un aussi crucial mais solvable problème. Dans les années 1970, il se mit alors à dresser une liste de mots nouveaux qu'il consigna dans son ouvrage intitulé : Amawal n tmazight. Ces mots nouveaux sont aussi d'une écriture toute médiocre. En ne sachant pas écrire orthographiquement les mots les plus usuels de la langue, comment pouvait-il, si facilement se lancer dans la création de nouveaux termes ? En ne sachant pas écrire : «un chat» «un chien» «un doigt» en ta maziptt orthographique, n'est-ce pas que c'est aberrant, pour ne pas dire ridicule, de livrer aux lecteurs un lexique de plusieurs mots «nouveaux»? Un pareil document n'est qu'un cimetière de mots.
Ecrire ou griffonner ?
Des auteurs en amazighophonie pour nous masquer, cacher, leur manque de maîtrise orthographique de ta maziptt ne cessent de ressasser, à qui veut les entendre ou lire, la qualité «orale» qu'«écrite» de ta maziptt. Sont-ils aussi aveugles que cela pour ne pas voir et l'avouer aux lecteurs que rien qu'avec les vingt- six caractères universel (latins) de A à Z les langues françaises, anglaises, allemandes s'écrivent orthographiquement malgré leurs multitudes de phonèmes ?
Certains essayistes en grammaire et en orthographe de la langue ta maziptt, après avoir fait toutes les éloges possibles aux langues «vivantes», invitent leurs lecteurs et lectrices à faire de sorte que ta maziptt emploierait pour son écriture que ces vingt-six caractères universels (latins).
Ils auraient aimé que cela se réalise ! Quant à eux, ils ne font aucun effort pour exécuter leurs sentences, leurs vœux. Et lorsqu'ils constatent que cela est réalisé par l'Académie de langue ta maziptt, ils crient au scandale ! Quant à eux, tout ce qu'ils écrivent en ta maziptt est avant tout «phonétique», «phonologique» dans le meilleur des cas, ils n'emploient que vingt-trois sur vingt-six de ces caractères universels (latins) que pourtant ils ne cessent de glorifier, de leur faire éloges. Les trois autres caractères (OPV), ils les mettent dans leurs poches pour ne les ressortir que lorsqu'ils veulent écrire des mots étrangers à ta maziptt, disent-ils. Ces essayistes s'inquiètent : comment écrire ces mots techniques, scientifiques, noms propres que les langues vivantes dont ils sont instruits utilisent. Ils s'étonnent comment allaient-ils écrire :
Oslo, Paris, Vladimir, dans le cas où ces graphèmes soient utilisés pour écrire ta maziptt !
Ont-ils l'impression que les académiciens de la langue française ont réfléchi à comment les autres langues vont être élaborées ? Les académiciens de la langue française en écrivant, en prononçant J en quoi est-ce qu'ils sont dérangés quand des Espagnols prononceraient ce même J-X (KH) ?
Dans leur indescriptible ignorance de la chose linguistique, académique, ils avancent d'un pas pour reculer de deux. Ils ne cessent de confondre entre «graphème» et «phonème» lorsqu'il s'agit d'écrire ta maziptt. Ces mêmes essayistes ne s'étonnent pas que dans des langues comme le français, l'anglais, on trouve une multitude de mots du dictionnaire qui restent inconnus du large public. Ces mots ne sauront être refusés par aucun interlocuteur, car les lexicographes les ont consignés dans le dictionnaire. Et, en les découvrant dans un texte quelconque, nous n'avons alors qu'à les collationner avec les mots isolément écrits dans des dictionnaires. N'est-ce pas que c'est à cet effet que les dictionnaires ont été conçus, confectionnés ? Nos essayistes n'ont à aucun moment réfléchi à des élèves de sept ans qui apprendront ta maziptt en toute innocence, naïveté, car convaincus d'apprendre «une langue» qu'ils ont en face d'eux un maître, un instituteur et non pas un «enseignant charlatan» qui écrit phonétiquement la langue dont ils s'instruisent. Ta maziptt, comme toute autre langue respectable, car enseignable, que les académiciens travaillent, possède de ces termes usuels, de vocabulaire primaire, tout comme elle a de ces termes sur lesquels caleraient enfants et adultes mais qu'on découvre dans des lexiques ou dictionnaires qui resteront les résumés de tous les écrivains et de tous les lecteurs et lectrices. Quant à écrire que c'est «à l'usage de plébisciter ou de rejeter un néologisme», c'est vraiment agir avec tromperie et imposture.
De la phonétique à l'orthographe
En ta maziptt, selon nos essayistes phonétistes qui pataugent dans l'écrit a mazip, il faut connaître tout pluriel de tout singulier pour l'écrire, comme dans le cas de l'arabe, et c'est pourquoi, d'ailleurs, ils aimeraient s'adresser à des élèves de 77 ans qu'à ceux de 7 ans. Imaginez un enseignant de ta maziptt qui écrirait au tableau :
– Tayazit une poule
et qui demanderait à ses élèves de lui donner son pluriel. Il n'y aura que les élèves nationaux qui connaisseraient ce pluriel «oralement» qui le déclameront au lieu de l'écrire. Or, conformément à des règles d'orthographe grammaticale, ta maziptt dont l'auteur est Bahbouh Lehsène, l'orthographe de tout singulier renseignerait tout apprenant de ta maziptt sur la formation, l'obtention de son pluriel, qu'il sache ou pas ses définitions !
Un seul alphabet
Pour les académiciens de langue ta maziptt, tout comme ceux de la langue française ou anglaise, il n'y a aucune nécessité à modifier typographiquement ni à ajouter ni à extraire un graphème à cet alphabet universel (latin) de vingt-six caractères pour écrire orthographiquement ta maziptt. Cet alphabet a acquis son caractère «universel» dans le sens exactement «typographique» mais, pas dans le sens de la prononciation de caractères qui, elle, est nationale ! Cette caractéristique est aussi celle de l'alphabet mathématique de 0 à 9. Le chiffre «5» est prononcé «five» en anglais, «cinq» en français, «semmusee» en ta maziptt, et «khemsa» en arabe, etc. Le graphème U est u en francais, mais OU en anglais. Qu'est-ce qui empêcherait i mazipen d'employer le graphème «P» pour le phonème R grasseyé (GH), afin d'évincer le gamma grec qui fait de l'alphabet universel (latin) un hétéroclite alphabet ? L'alphabet est universel, mais les langues sont «nationales» quant à elles. Dans le cadre de nos travaux académiques de langue ta maziptt, nous avons combiné les graphèmes «C» et «K» pour obtenir le phonème «CK», car, en poursuivant nos travaux même en prison où nous eûmes le «loisir» de rencontrer des i mazipen de toutes les régions, contrées, du nord de l'Afrique, nous nous aperçûmes que c'est ce digramme qui est scindé en phonèmes «C» et «K». Il y a qui prononceraient «acal»pour terre, tout comme il y a qui prononceraient «akal» pour terre, d'autres prononcent quant à eux «ackal» pour terre. N'est-ce pas que tous les instruits en français écrivent «petit» pour ensuite prononcer «petsi» et «petchi»? Académiquement parlé, dans aucune langue l'orthographe ne correspond parfaitement à la prononciation, et, dans toute langue où on affecte un graphème pour tout phonème, cela s'appellera, dans le langage moderne : «Transcrire phonétiquement son dialecte» ! Et, tout parler, toute langue qu'on transcrit phonétiquement ou phonologiquement n'est, en dernière analyse, qu'un amas d'onomatopées et/ou d'interjections, impropre à la consommation scolaire.
Or, parler de l'enseignement, de l'officialisation d'une langue, cela suppose qu'elle est enseignable et qu'elle s'écrive orthographiquement. Une langue enseignable, officielle ou pas, enseignée ou pas, c'est celle que tout étranger apprend tout comme l'apprend tout national. Un Chinois et un Français de sept ans s'instruisant en français ou en anglais feront le même progrès scolaire, car dans leur apprentissage, ils assimilent les mêmes règles d'orthographe et de grammaire, et c'est pourquoi aujourd'hui, nous trouvons des Chinois de Pékin enseigner, non seulement dans des écoles primaires, mais dans des universités de Paris, de Londres ! En ta maziptt ? c'est sans scrupule ni vergogne que nos essayistes en orthographe grammaticale de ta maziptt nous parlent d'enseigner la langue kabyle, la langue chaouie, ou la langue mzab. Nous voilà revenus à cette devise chère à tout opportuniste assoiffé de pouvoir qui dit, et ça n'est un secret pour personne, «diviser pour régner».
Conclusion
En septembre 1994, lors de la grève du cartable de plusieurs milliers d'élèves et d'étudiants, nous crûmes que de cette action que nous avons énergiquement soutenue allait découler une structure, une institution à caractère académique de langue ta maziptt. Le décret présidentiel du mois de mai 1995 a prévu la création de cette structure dénommée le Haut-Commissariat à l'amazighité (HCA) avec un mandat de trois ans. Nous crûmes qu'en ce laps de temps, ta maziptt allait recouvrir ses lettres d'or. Trois années de préparation, de débats sérieux, de confection d'ouvrages académiques, de manuels scolaires pour différents niveaux, suffiraient pour offrir à l'ensemble des élèves nationaux cette opportunité de faire connaissance avec cette langue dès le cycle primaire.
Malheureusement, ta maziptt resta otage de politiciens qui œuvrèrent par coptation, en utilisant cette langue comme moyen d'accès aux postes de responsabilité politique qu'à ceux proprement d'intérêts de cette langue. Le HCA devenu un organe politique se réserva le droit d'organiser des débats politiques, folkloriques que scientifiques, académiques. C'est finalement le 31 août 1995 que le processus de destruction de ta maziptt fut achevé à Ben Aknoun où des militants politiques que de l'amazighité résolurent d'enseigner, phonétiquement, en «transcrivant» dans trois différents alphabets les dialectes régionaux. Dix ans après l'instauration du HCA, l'intronisation de sa composante humaine, ta maziptt ne cesse de perdre chaque jour un peu plus de sa base, de sa crédibilité. Nous dirons, et ça n'est pas exagéré, qu'en dix ans d'activités folkloriques du HCA le bilan est plus que catastrophique. Les élèves de cycles primaires, moyens, et secondaires qui auraient pu s'initier à ta maziptt nationale, ensuite officielle, car académique, se virent trahis par ceux censés les défendre. S'agissant de ces élèves de 77 ans qui prétendent être des enseignants, des professeurs en ta maziptt, tout en la transcrivant phonétiquement, qu'ils soient convaincus, persuadés qu'ils ne font que la griffonner en feignant de l'écrire.
e-mail : [email protected]


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