Réagissant en quatre points à la pétition de douze membres signataires pour la revendication d'une commission d'enquête communale, le communiqué en question considère cette démarche comme dilatoire et non fondée, puisque aucune disposition réglementaire ne l'autoriserait dans le fond et dans la forme. En outre, le président du groupe FLN déclare ne pas comprendre comment des membres pétitionnaires qui sont eux-mêmes vice-présidents de l'exécutif communal et d'autres présidents de commissions importantes, tels le social et le technique, puissent agir tout à coup en enquêteurs sur des questions qui relèvent de leur responsabilité et de leur autorité directe. Par ailleurs, le communiqué signale que toutes les délibérations ont été adoptées à l'unanimité par ces membres qui pétitionnent aujourd'hui pour le gel des activités du conseil. En conclusion, le communiqué relève en substance que toute cette agitation et ce conflit soudain ne sont qu'une réaction politicienne non contrôlée devant le succès du huitième congrès du FLN et le renforcement de ses structures de base ; ainsi qu'une tentative de déstabilisation de l'APC. En attendant les suites que donnerait l'administration à ce conflit, qui a éclaté cette semaine à l'APC de Bordj Bou Arréredj et aux arguments des deux groupes, il faut noter qu'une inspection de la wilaya a déjà travaillé sur le dossier auparavant, selon le président du groupe FLN.