En dépit des efforts consentis, notamment ces derniers temps par les services techniques de l'ADE sur le plan réfection de certaines canalisations d'eau potable défectueuses, il est à relever que beaucoup reste à faire en la matière pour juguler ces pertes, suite à des « saignées » continuelles constatées au niveau de nombreux quartiers d'Alger. C'est le cas de la rue Ibn Toumert relevant de la commune de Bologhine, où l'eau ruisselle le long de la voie à longueur d'année. Une situation déplorable dans la mesure où cela use l'asphalte et contribue à l'affaissement de la chaussée. Par ailleurs, les automobilistes craignent toujours d'emprunter la rue Mohamed Ouaïl (Notre Dame d'Afrique) dont un tronçon présente un glissement de terrain sur le bas-côté qui n'est pas sans danger. Cela nécessite, bien évidemment, un gabionnage pour éviter l'irréparable.
