LSP à Medroussa : Les 28 souscripteurs s'impatientent Les 28 souscripteurs de logements LSP à Medroussa (ex-Louhou), 25 km à l'ouest du chef-lieu de la wilaya de Tiaret, sont mécontents et viennent de saisir le wali pour arbitrer le conflit qui les oppose à l'agence de Frenda, relevant de l'AFWI TIARET. Les plaignants, dans une copie de lettre remise à notre rédaction, précisent : « Après avoir souscrit au contrat de réalisation d'un logement de type socio participatif avec l'agence foncière de Frenda non sans avancer une première tranche de 60 000 dinars sur les 160 000 dinars, nous fumes contraints, après révision des quote-part, à verser l'intégralité des dus estimés à 150 000 dinars, soit avec une augmentation de 50 000 dinars. » L'agence foncière de Frenda qui arguait des charges en hausse et de l'augmentation des prix des matériaux n'avait pas honoré pour autant ses engagements en dépit des promesses de livrer, dans un délai de 45 jours, les logements achevés à 80%. Ces unités, rappellent enfin les plaignants, connaissent déjà et avant leur livraison, une dégradation remarquée. Ex-école Pasteur : La Forem et les anciens de l'éducation La décision d'octroi du siège de la FOREM (ex-école Pasteur) au club des anciens de l'Education a fait réagir le personnel d'encadrement et les adhérents, des jeunes qui poursuivent des formations en informatique, coiffure, pâtisserie et des métiers liés à la broderie, couture et autres sans compter le club Internet. Les protestataires, qui arguent d'une occupation des lieux pour dispenser, outre ces activités, une aide aux démunis, le suivi des sidéens, l'assistance psychologique, rappellent que pas moins de 32 postes d'emplois sont concernés par le devenir du siège si jamais la décision venait à se concrétiser. Les signataires font savoir qu'un total de 420 personnes sont concernées par le devenir de cette structure qui, bien que vieillotte, n'en continue pas moins de susciter les convoitises. Le club des anciens de l'Education, qui ont bien besoin d'espaces pour s'épanouir et se soustraire de la morosité quotidienne liée à leur nouveau statut de retraités, avaient proposé d'autres lieux mais les pouvoirs publics tardent à réagir. Quel sort pour les biologistes ? Beaucoup de jeunes étudiants et étudiantes, des diplômés en biologie, n'arrivent pas à admettre qu'ils ne soient pas intégrés dans les programmes d'emplois initiés par l'Etat ou les entités publiques. Etre biologiste semble un diplôme fatal pour les étudiants qui avaient décroché leurs diplômes depuis l'an 2000. Parmi eux, certaines jeunes filles continuent de courir les administrations et font part de « blocages dans le processus d'initialisation de projets propres par les médecins biologistes en plus de la saturation de cette filière ». Une question s'impose : Quel sort pour les biologistes si on continue de leur tourner le dos ?