Les dissensions et autres frictions qui existent, depuis longtemps, au niveau de l'APC de Haïzer, ont dépeint sur l'environnement immédiat de la ville. La ville de « Taqaâts » n'arrive pas à décoller comme sont en train de le faire d'autres villes plus ambitieuses et portées résolument sur l'avenir. En effet, il suffit de voir l'état lamentable de son réseau routier pour se rendre compte qu'un long travail attend cette agglomération. A propos des routes, Haïzer subit leur défectuosité car, en plus de la vétusté et de la dégradation continue du bitume, des entreprises et même des citoyens qui entreprennent des travaux divers, ne remettent pas en l'état les chaussées, ce qui cause des désagréments aux usagers.