Le conflit né suite au retrait de confiance au P/APC d'El Milia le 3 novembre de l'année écoulée dure encore sans que la situation ne connaisse un dénouement. Les élus, ayant été derrière le retrait de confiance, sont revenus à la charge à travers une lettre ouverte au président de la République publiée sous forme de placard publicitaire dans la presse. Les frondeurs qui affirment détenir les 2/3 de l'Assemblée se disent surpris par l'arrêté 34/09 du 13/01/2009 portant désignation du chef de daïra pour gérer les affaires de la commune. Concernant la lettre du 12 janvier dernier, relative à la convocation par le P/APC pour tenir une assemblée, les concernés réfutent catégoriquement la réception d'une invitation à cet effet. En conclusion, les auteurs de la lettre demandent l'intervention du premier magistrat du pays pour imposer l'application de la loi 90/08, article 55.