Les escaliers menant de la rampe Lounis Arezki à la rue Asselah Hocine sont d'une saleté, on ne peut plus repoussante. Servant de refuge aux sans-abri, poivrots et autres mendiants, ces marches sont souvent jonchées de canettes, de tessons, de débris de bouteilles de vin et de vieux cartons servant de couchettes. Une odeur d'ammoniaque provenant des flaques d'urine s'en dégage, obligeant les passants à presser le pas.