Pas de cimetière à Bordj El Bahri La commune de Bordj El Bahri, qui en l'espace de quelques années seulement s'est vu catapulter au rang de commune surpeuplée, n'a paradoxalement pas de cimetière. Les terres agricoles, qui ont toutes été détournées de leur vocation initiale par un trafic foncier avéré, ont dû servir uniquement à l'extension effrénée du tissu urbain. Les responsables locaux, pris par la fièvre du foncier, n'ont pas pensé qu'on pouvait aussi mourir à Bordj El Bahri. Et, par voie de conséquence, ne doit-on pas prévoir un lieu où les morts pourraient y élire domicile pour un repos éternel ? Les autorités locales ont tant fait dans le galvaudage et la dilapidation à leur propre profit et celui de ceux qui gravitent autour d'eux, que même la création d'un cimetière est perçue comme une soustraction qui atrophierait le butin. Pour enterrer leurs morts, les habitants de la commune se rabattent sur les cimetières des communes limitrophes, telles que Bordj El Kiffan, Rouiba, ou encore Heuraoua. Insalubrité dans les rues d'Alger-Centre L'état d'insalubrité, dans lequel se trouvent certaines rues d'Alger-Centre, dénote un manque de suivi avéré dans le travail des autorités locales, qui le temps du déroulement du deuxième Festival panafricain ont dû fournir des efforts en matière de nettoyage des rues et du ramassage des ordures ménagères. Passé ce festival, les artères de la ville ont retrouvé leur état initial marqué par une pestilence généralisée. Des tas d'ordures se sont amoncelés dans les moindres recoins de l'agglomération donnant à la ville des allures de bidonville. Association El Baraka : Sortie en mer au profit des enfants A l'occasion de la saison estivale, l'asociation El Baraka en partenariat avec l'association Récif de Tamanfoust vont procéder à une action de loisir pour les enfants handicapés qui consistuent en une sortie en mer en bateau, grâce à la solidarité d'un citoyen algérien à qui appartient le bateau en question, cela va commencer le mardi 28 juillet à partir de 13h.