Selon nos sources, ce vice-président aurait délivré des autorisations de démolition et d'autres de constructions et d'aménagement non conformes à la loi en vigueur. La délégation de signature lui a été retirée en attendant que l'enquête déclenchée à son encontre aboutisse. L'APC de Bir El Djir connaît, selon des indiscrétions, une division, des clans qui ne font que ralentir la prise en charge des doléances des citoyens. Cette suspension est la première prononcée en 2014. En 2013, près d'une dizaine d'élus, notamment des présidents d'APC, ont été suspendus pour leur implication dans des affaires de passations frauduleuses de marchés publics, de dilapidation de foncier et autres délits relatifs à la mauvaise gestion.