Dans leur communiqué, les protestataires, issus du Syndicat national des médecins généralistes de santé publique (SNMGSP), le syndicat national des praticiens spécialistes de santé publique (SNPSSP) et le syndicat algérien des paramédicaux (SAP), ont dénoncé, « la situation catastrophique qui prévaux au sein de l'EPH et la fermeture des voies de dialogue avec l'administration qui a été destinataire d'une requête datant du 9 du mois en cours. Mais qui n'a pas daigné répondre aux doléances des protestataires». Les syndicalistes accusent aussi l'administration de l'EPH « d'acharnement contre la secrétaire générale de la section syndicale du SNMGSP ». Les protestataires ont révélé dans leur communiqué plusieurs cas « d'agressions verbales et physiques répétitives dont a fait l'objet le personnel des urgences, notamment le personnel féminin ».