Forêt des Arcades : Le massacre continue La forêt des Arcades qui surplombe le jardin d'Essai aurait pu être un espace de détente pour les familles. Malheureusement, ce coin de verdure ne cesse d'être agressé au quotidien. L'environnement est devenu pourri au sens propre du terme. Les gérants des restaurants, des cafétérias et autres passagers continuent à y jeter leurs ordures (bouteilles, canettes, sachets etc.). A quelques mètres du sanctuaire des Martyrs, la mythique forêt des Arcades est devenue un lieu « bizarre ». Les riverains ne font que constater les dégâts et déplorent l'indifférence des pouvoirs publics. « En raison du laxisme qui règne, la forêt est devenue un lieu de prédilection de tous les excès. Des personnes véhiculées, en possession de pelles et pioches n'hésitent pas à dilapider le sol de la forêt pour le transformer en terreau qu'ils revendent aux fleuristes et aux particuliers », nous révèle Saïd G. Dkakna toujours sans gaz de ville Les habitants de Dkakna, une bourgade située à quelques kilomètres du chef-lieu de la commune de Douéra, sont toujours dans l'attente du gaz de ville. « Le réseau du gaz de ville existe déjà chez nous, mais nous n'arrivons pas à comprendre ce qui empêche la direction des mines (DMI) et Sonelgaz de procéder aux raccordements nécessaires », ont déclaré nos interlocuteurs qui précisent qu'ils se sont présentés à plusieurs reprises au siège de l'APC, et qu'à chaque fois, « on nous berce avec des promesses de régler le problème dans les plus brefs délais, tout en nous demandant de patienter encore ». Les habitants affirment également que ces problèmes durent depuis 2006 et que rien n'a été fait pour les solutionner. La station El Mokrani réhabilitée La station des transports en commun, El Mokrani, située à la place du 1er mai, vient d'être réhabilitée après plusieurs mois de fermeture. En effet, cette station essentielle pour la desserte sur plusieurs destinations des bus du transporteur public Etusa, vient de recevoir de nouveaux abribus ainsi qu'une couche de bitume. Le seul couac est l'indisponibilité des sanitaires, ce qui met mal à l'aise des milliers de voyageurs qui sont dans l'obligation de se débrouiller pour se soulager.