Si la réalisation du centre régional anticancéreux ne semble pas poser problème, compte tenu de la disponibilité d'un terrain d'assiette à l'intérieur du centre hospitalier universitaire Ibn Rochd, il n'en est pas de même en ce qui concerne le Centre des urgences médicales (CRU). La saturation du foncier risque d'être à l'origine du report aux calendes greques du lancement des travaux de cette infrastructure. Cette dernière tient à cœur la majorité des praticiens, dont le professeur Saïdia, directeur général du CHU Annaba, qualifié à juste titre de parrain du projet. L'immense surface non utilisée à l'intérieur de l'enceinte de l'EHS Erazi pourrait combler ce manque, d'autant que le lieu remplit toutes les conditions pour l'implantation d'un service des urgences appelé à regrouper toutes les spécialités médicales.