La rue Ahcène Khelifa, du côté de la rue Hoche, parallèle à la rue Hassiba Ben Bouali, est triste à pleurer ! Gravats, faïences brisées, matériaux de construction, briques cassées et sacs poubelles éventrés sont jetés depuis plusieurs mois sur le trottoir. Les riverains pointent un doigt accusateur vers les entreprises ayant pris en charge les travaux de réhabilitation des immeubles touchés par le séisme de mai 2003. « A la fin des travaux, ils ont laissé tout sur place », fulmine l'un d'entre eux. et d'ajouter : « depuis, c'est devenu un dépôt d'ordures. On vient de partout pour y jeter les gravats de toutes sortes ! »