Cet excédent et en hausse par rapport à 2003 (510,1 MDS DA), en raison de la « bonne tenue des prix des hydrocarbures sur les marchés internationaux », selon le rapport de la Banque d'Algérie sur l'évolution économique et monétaire en Algérie en 2004. Néanmoins, avec un ratio recettes des hydrocarbures/recettes totales de près de 70% en moyenne sur la période 2000-2004, « les finances publiques demeurent vulnérables à moyen terme aux chocs externes, ce qui va entraver considérablement la conduite de la politique budgétaire », explique-t-on.