A la rue Asselah Hocine située en plein centre-ville, l'Entreprise de gestion de la circulation et du transport urbain (Egctu) n'a pas trouvé mieux que de procéder au réaménagement d'un abribus qui semble implanté au-dessus d'un regard d'eau usée. De ce fait, les usagers, contraints d'attendre le bus à ce point précis, sont exposés à des odeurs pestilentielles qui se dégagent de cet égout mal fermé. Le déplacement de l'abribus devient donc impératif pour épargner aux usagers, essentiellement ceux de l'Etusa, un désagrément de plus.