L'article paru dans notre édition du 5 novembre 2005, intitulé « SOS Femmes en détresse : la justice s'en mêle » a fait réagir la présidente de l'ONG en question. En effet, Mme Belala estime que notre reporter a fait dans la partialité, faisant sienne, selon ses dires, la thèse émise par ses détracteurs (2 membres « exclues » de l'association). Cela étant, nous devons rappeler que l'article s'était limité strictement à l'information, faisant état d'une requête, transmise par deux membres (dames) du bureau de l'association SOS Femmes en détresse à la justice. Celles-ci, accusant la présidente de l'ONG, Mériem Belala, d'avoir ouvert deux comptes bancaires à l'insu de la trésorière qui s'avère être l'une des plaignantes. Toutefois, afin de recueillir sa version des faits, Mme Belala fut bel et bien contactée par l'auteur de l'article. « Il s'agit de deux éléments qui ont tout fait pour bloquer les activités de notre association. Pas moins de 361 membres de SOS Femmes en détresse ont décidé, en toute souveraineté, de les exclure », nous a-t-elle déclaré. Une erreur, cependant, incombe à la rédaction, le reporter ayant évoqué « 185 » membres de l'AG à avoir exclu les 2 membres de l'association au lieu de 361. Dont acte.