-Meissonnier (Sidi M'Hamed) : L'informel revient Les vendeurs informels reprennent place depuis quelques jours dans la rue Ferhat Boussad (ex-Meissonnier ) dans l'APC de Sidi M'hamed.Les ruelles qui mènent à l'hôpital sont occupées par des vendeurs qui ont été pourtant «délogés» il y a plusieurs années. Les piétons éprouvent des difficultés pour se frayer un chemin parmi les vendeurs qui déposent leurs marchandises sur la chaussée. Les riverains sont gênés de voir ces vendeurs revenir avec force. «Les entrées des immeubles sont obstruées, comme d'ailleurs le marché Ali Mellah (Le Bazar) qui accueille des centaines de commerçants qui échappent totalement aux services des impôts», se désolent des habitants, qui affirment que l'APC de Sidi M'hamed dispose pourtant d'espaces pour les vendeurs informels répertoriés, mais ils ne sont jamais occupés , dont le marché de proximité Molière, non loin de la rue Hassiba. Les autorités locales et les services de sécurité ne veulent plus affronter ces commerçants qu'on laisse activer, au grand dam des habitants. -Mohammadia : Le tram de la désolation La rue Ouled Sid Chih à Mohammadia (ex-Lavigerie) se trouve dans un état lamentable, au grand dam de la population. Les travaux du tramway ne sont toujours pas terminés : les installations sont vite enlevées par les agents de l'Entreprise du métro d'Alger. «Le pavé installé sur plusieurs mètres a été détruit.Les tronçons bitumés sont forés à chaque fois», s'indignent les riverains, qui ne peuvent plus circuler librement depuis plusieurs mois. Les réseaux d'évacuation sont obstrués par les gravats et les déchets. -Bordj El Bahri : Un trou béant sur la chaussée Les services de la Seaal, qui ont dépêché leurs agents pour colmater une fuite sur le réseau d'eau potable à Brise Marine, dans la commune de Bordj El Bahri, ont omis de remettre la chaussée dans son état initial. Une importante excavation a été signalée après leur départ précipité. L'état déplorable dans lequel se retrouve la chaussée perdure depuis maintenant plusieurs mois.