Pour vanter des produits ou pour orienter la clientèle, des annonceurs d'un autre genre se permettent le luxe de coller ou de fixer, c'est selon, leurs placards sur des murs d'immeubles et autres établissement publics. Profitant du silence des gestionnaires de la cité, enlaidie par un tel décor, ces annonceurs osent même squatter les pylônes électriques. Il faut préciser que cette moche réclame n'a épargné aucun coin de la capitale des Hauts-Plateaux.