Quelques éléments de la société de prévention et d'action de sécurité (SPAS), employés dans des filiales de Sonelgaz, sont venus mécontents évoquer des problèmes d'ordres socioprofessionnels. Ces agents, au nombre de 266, relevant de la DMP-distribution, recrutés depuis 1996 pour certains, «n'ont pas été régularisés en application de promesses» et arguent d'«une non-représentativité syndicale». Les plaignants, dans une lettre adressée à El Watan, évoquent «des primes de risque, celles liée au transport, de scolarité, non honorées» comme le stipule la note d'information du 6/6/1999. D'autres revendications professionnelles sont brandies par ces hommes armés qui veillent sur la sécurité de certaines sociétés dont justement Sonelgaz, secouée par un vent de révolte. Une contestation instiguée par de jeunes universitaires très imprégnée de la toile et de Face book.