L'APC de Aïn Taya a initié un projet pour la protection du rivage qui consiste en la mise en place de brise-lames. Ces derniers protégeront, aux dires du président de l'APC, Abdelaziz Rih, les habitations qui menacent de s'effondrer le long du rivage. Le taux d'avancement du projet est de 90% pour un coût de 100 milliards de centimes. Les travaux s'étendent, selon M.Rih, sur une longueur de presque 2 km (Aïn Beïda et Aïn Taya, Tamaris). Autre projet qui touche, d'après le maire, à sa fin, la station de relevage située à Aïn Beïda. Selon M. Rih, la station qui a coûté la bagatelle de 2 milliards de centimes permettra l'évacuation des eaux usées qui se déversent dans la mer vers la station d'épuration de Réghaïa. Le revêtement du chemin de wilaya en direction l'ex-Enita va démarrer incessamment. L'entreprise de réalisation ayant été choisie. Il permettra, selon notre interlocuteur, de désengorger le centre-ville et d'offrir aux automobilistes des voies d'évitement. De plus, un ambitieux projet d'amélioration urbain est en vue. Il concernera en premier lieu les quartiers HLM, la Falaise, Diar El Gharb et les 200 Logements. Ce projet modèle « touchera, entre autres, les volets concernant les voiries et l'assainissement de ces quartiers », selon toujours M. Rih.