Plusieurs routes menant à Aïn El Hammam ville sont dans un état peu reluisant. La route dite de Akkar, un raccourci très fréquenté pour se rendre à l'hôpital, est à la limite de l'impraticabilité. Le tapis dont elle a été recouverte il y a cinq ans, s'est rétréci, au point de réduire la chaussée à une seule voie. Pour remédier à la situation des travaux de réhabilitation avec du béton armé, ont été initiés l'an dernier. Cependant, loin de remédier à l'état de la chaussée, les travaux l'ont plutôt abîmée davantage. Le béton qui avait été posé sur une partie de l'accotement, seulement, s'est effrité, mettant à nu des bouts de fer (treillis soudé) menaçant les piétons et les automobilistes contraints d'aborder ce chemin avec précaution. Quant aux pistes, menant aux villages, celles de Taourirt et de Tamedjout semblent les moins fréquentables. La chaussée dont le bitume est détérioré depuis plusieurs années, n'est plus que nids de poules qui mettant à mal les amortisseurs et autres organes des véhicules. Les villageois rejoignent leur maisons, par un chemin détourné qui commence, lui aussi, à montrer des signes de saturation.