La plus étendue des communes d'Alger, Gué de Constantine en l'occurrence, et aussi la plus tristement connue pour ses constructions anarchiques, compte actuellement, selon le président de l'APC, pas moins de 10 000 baraques. Un chiffre effarant et qui renseigne si besoin est sur l'incapacité des pouvoirs publics à contenir un phénomène qui risque de ternir davantage l'image de la capitale.